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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
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10 novembre 2023

A ROUEN, pour les Inquisiteurs chasseurs de sorcières du POULPE, la future cité immersive des Vikings sent le "soufre"!

Billet de Florestan:

L'INTOLERANCE!

Voltaire n'aimait pas ça. Nous non plus!

jeanne d'arc

Une certaine gauche médiatiquement bien pensante, professionnelle d'une "moraline"  (Nietzsche) qui se fait passer pour un sain (ou pour un saint) exercice de recherche de vérité et d'objectivité, n'hésite pas à médire ou à diaboliser tout ce qui, pour des raisons idéologiques qu'elle ne veut pas assumer, est différent d'elle... Quitte à pratiquer pour ses ennemis idéologiques ce qu'officiellement elle réprouve, combat ou dénonce: l'intolérance, la discrimination, la proscription, l'inquisition, la difamation, l'insulte, le harcèlement moral et intellectuel, la mort sociale...

Le "Poulpe" média normand indépendant d'investigation est utile au débat public normand lorsqu'il cherche une vérité objective d'intérêt général notamment lorsque ce dernier est remis en cause par des intérêts particuliers puissants.

Il l'est, en revanche, beaucoup moins quand il prend parti pour des raisons partisanes olfactives qui sont devenues un réflexe chez les chiens qui chassent en meute...

Et si un projet culturel destiné à valoriser l'héritage des Vikings auprès du grand public normand et rouennais se met, soudain, à sentir "quelque peu le soufre" sous prétexte qu'il est soutenu par un fonds d'investissement dont l'homme d'affaires a encore le droit de ne pas être de gauche (nous ne sommes pas encore en Union soviétique) alors que dire de la moraline d'une indignation à géométrie variable qui devient, pour le coup, objectivement puante au sujet de la tragédie en cours entre Israël et le Hamas à Gaza:

En effet, lorsqu'une certaine presse bien pensante refuse, s'obstine même, à qualifier le Hamas d'organisation terroriste sous prétexte de préserver la légitime cause politique palestinienne, voilà une bien plus forte occasion de sentir le soufre au point que cette presse bien pensante soi-disant objective mais qui est, de fait, de gauche pourrait être classée SEVESO, notamment sur les rives de la Seine à Rouen... ou à Paris!

Bref! Comme souvent, aux Tartuffes qui se font, volontiers, donneurs de leçons, accusateurs ou inquisteurs, on peut rétorquer avec la merveilleuse intelligence enfantine bien plus vive que celle d'adultes abrutis par leur idéologie:

-Alors comme ça, je sens le soufre? 

-"C'est celui qui le dit qui l'est!"


 

Cité des Vikings en bord de Seine : la mairie de Rouen embarrassée par un projet financé par la droite "catho tradi"

Le Poulpe Par Guénolé Carré - le 09/11/2023 à 15h30

Dans les cartons depuis plusieurs mois, le projet de la « Cité immersive des Vikings » qui devrait occuper dès le printemps prochain le hangar 105 bis sur les quais rive gauche, vient d’être officiellement lancé à Rouen. Financé par un fonds d’investissement catholique créé par le très traditionnaliste homme d’affaires Pierre-Edouard Stérin, proche de la famille de Villiers et du Puy-du-Fou, ce projet n’est pas sans faire grincer certaines dents au sein de l’équipe municipale.

Ils étaient une quarantaine d’invités triés sur le volet à assister ce mercredi soir à Rouen, dans la nef de l'église St-Nicaise (devenue l'église-brasserie Ragnar), à la présentation de la « Cité immersive des Vikings ». Concept inédit dans la région, cette attraction, présentée par ses promoteurs comme un hybride entre divertissement et musée, devrait ouvrir dès le printemps prochain au rez-de-chaussée du nouveau hangar 105 bis, sur les quais rive gauche.

Originellement promis à l’atelier Lucien qui projetait d’y installer une espace d’expérimentation artistique, les tractations pour l’occupation du local de 900 m2 avaient finalement tourné court au début de l’année, officiellement en raison des horaires de fermeture trop tardifs demandés par la coopérative rouennaise. Pour plonger le spectateur au cœur du Xème siècle, c’est une expérience totale mêlant immersion visuelle, sonore et même olfactive qui sera proposée à laquelle se mêlera une expérience ludique, les visiteurs étant invités à être acteurs de leur visite.

Dans une optique de vulgarisation, un partenariat a même été conclu avec le youtubeur Nota Bene qui doit réaliser des vidéos pour le projet rouennais. Rencontré quelques heures avant la soirée de lancement, le co-directeur du projet, Jean Vergès, précise la raison d’être de son projet. « L’idée est de repenser totalement l’expérience du visiteur dans un musée. Le musée est aujourd’hui considéré comme très élitiste, 70% des gens n’y vont pas et une grande partie de l’offre est concentrée en région parisienne » Détenteur d’un master « Marché de l'Art » décroché à la Sorbonne, ce passionné d’histoire possède à 29 ans une grande expérience de ce genre d’installations après avoir monté dès 2017 la startup UMA (Universal museum of art) proposant des visites virtuelles de musées. D’ici 2030, une dizaine d’autres espaces de ce type sont prévus à travers le pays, chacun centré sur une thématique unique. « L’un des enjeux est de mettre en valeur des grands personnages attachés à une ville ou à une région […] On est persuadé qu’il y a des messages extrêmement inspirants et des modèles dans celles et ceux qui nous ont précédés, qui peuvent être à la fois inclusifs et susciter de la fraternité », abonde Jean Vergès Un fonds d’investissement créé par un homme d’affaires libertarien Pour concrétiser le projet, Jean Vergès et sa jeune équipe ont pu compter sur le soutien du fonds d’investissement du « Bien commun » et de son incubateur à start-up, fondé en 2021 sous l’impulsion du milliardaire eurois Pierre-Édouard Stérin.

Ayant fait fortune au tournant des années 2000 avec plusieurs projets comme les coffrets cadeaux Smartbox ou le site LaFourchette.com, l’homme d’affaires créait également en 2009 le fonds d’investissement Otium. La proximité de Pierre-Édouard Stérin, catholique fervent aux opinions très conservatrices, avec l’extrême droite est également bien connue. Proche d’Éric Zemmour et de Marion Maréchal, cette personnalité énigmatique qui aime à se décrire comme un libertarien, alertait notamment en 2018, dans une interview donnée au média d’information économique Entreprendre, sur une supposée « infiltration socialo-communiste de l’administration française », préjudiciable au développement de la France et de ses entreprises.

Sur son site web, le fonds du Bien commun affiche d’ailleurs d’emblée son positionnement au diapason des très traditionalistes valeurs de son fondateur. Ainsi, la société qui ambitionne de transmettre « le meilleur de la civilisation européenne », a depuis sa création en 2021, apporté son soutien à une multitude de projets catholiques, commerciaux ou non. Parmi eux, on peut trouver pêle-mêle : un site web dédié à « l’accompagnement de la conjugalité pour un amour durable », une application de « méditation chrétienne » ou un financement à l’association SOS Calvaires qui a endossé le sacerdoce de la restauration de calvaires et chapelles partout en France.

Dans un registre plus épique, le Bien commun a aussi été l’un des producteurs du film « Vaincre ou mourir » sur les guerres de Vendée aux côtés notamment des studios Canal de Vincent Bolloré et du Puy-du-Fou.

À sa sortie, le film avait provoqué la polémique suite à des accusations de révisionnisme historique. Ce financement n’est d’ailleurs pas le seul lien de Pierre-Édouard Stérin avec le parc à thème vendéen.

En 2016 en effet, ce dernier co-fondait avec Nicolas de Villiers (le fils de Philippe de Villiers) l’éphémère société Puy-du-Fou Expertise. Cette dernière aurait joué un rôle dans la réalisation du projet de parc « Puy-du-Fou España » qui a ouvert en 2021 à Tolède. De son côté, Jean Vergès est clair, son projet bien qu’ayant été soutenu par le Bien commun est parfaitement indépendant, tout en ayant été reçu avec un grand intérêt par la société. « Il y a eu plusieurs rencontres qui ont été organisées entre moi et les équipes du Bien commun. À l’issue desquelles, c’est moi qui, constatant l’intérêt qu’il pouvait y avoir pour un tel concept, l’ai créé de A à Z, mais ça a été initié par un intérêt de leur part »

Certaines personnes à la mairie auraient alerté sur les positions politiques portées par le fonds du Bien commun. Du côté de la mairie de Rouen, le projet semble accueilli avec une certaine fraîcheur, surtout quand on sait que celui-ci ambitionne les 100 000 visiteurs par an, soit des chiffres comparables à ceux du Musée des Beaux-Arts.

Contactée par Le Poulpe, Marie-Andrée Malleville, adjointe à la culture à la mairie de Rouen, refuse catégoriquement de commenter ce projet, invoquant sa nature exclusivement privée. « C’est une entreprise totalement privée dans laquelle on n’a absolument rien à voir mais bien entendu, on regarde de près ce qu'il s’y passe. C’est un des nombreux projets privés qui voient le jour sur les quais de Seine et ailleurs », a déclaré l’adjointe. À la question des financements, l’édile botte en touche, déclarant ne rien savoir à ce sujet et ne pas être compétente pour l’aborder. « Vous me posez une question qui est totalement au-delà de mes compétences. Je n’ai aucun élément de réponse à vous donner. Je n’ai aucune bille à vous donner là-dessus parce que je suis totalement ignorante »

Cependant, selon les informations du Poulpe, plusieurs élus et collaborateurs étaient informés de l’origine du financement de la « Cité des Vikings ». Certains auraient même alerté en interne quant aux positions politiques portées par Pierre-Édouard Stérin et le fonds du Bien commun. Les bonnes relations avec les municipalités sont pourtant l’une des pierres angulaires du développement des cités immersives selon Jean Vergès, louant au passage l’accueil très favorable qui aurait été fait à son projet parmi les élus. « On a rencontré divers élus que ce soit au tourisme, à la culture, à l’urbanisme, de la rive gauche, à la métropole et à chaque fois qu’on leur a présenté le projet, l’accueil a été très favorable ». À l’évocation de cette affirmation, Marie-Andrée Malleville rétorque : « On n’a rien dit du tout. Ni que c’était merveilleux, ni que ce n’était pas bien. On est restés neutres. J’ai rencontré un monsieur qui s’occupe du projet et qui est venu me le présenter mais on en est restés là. C’est une des nombreuses personnes qui vient régulièrement me présenter une initiative nouvelle sur le territoire et qui croit bon d’en informer les élus ».

Avec une ouverture prévue aux alentours de juin prochain, c’est le succès de la cité rouennaise qui déterminera la mise en route de nouveaux projets de ce type ailleurs en France. D’ici là, c’est la bataille de la confiance que devront livrer les Cités immersives pour réussir leur pari de s’intégrer pleinement à la scène culturelle rouennaise. "C'est une chose très intérressante pour la vie culturelle mais c'est aussi un projet à surveiller de près", glisse une source proche de la mairie. Contacté par Le Poulpe, Camille Zolli, entrepreneur rouennais propriétaire du hangar 105, n'a pas donné suite, signe d'un certain embarras à communiquer sur un projet qui sent quelque peu le soufre.


 Commentaire de Florestan:

Nos tartuffes de gauche sont, comme d'habitude, consternants!

Car au Robespierrisme des uns (Le Poulpe) s'ajoute la lâcheté sinon la peur des autres (les écolo-socialistes de la mairie et de la métropole de Rouen) d'être accusés par les premiers de collaborer avec le diable de l'Extrême droite au sujet d'un projet "d'histoire publique" d'éducation populaire porté par une initiative privée qui risque de réussir bien mieux que toutes ces institutions gavées d'argent public pondues ou contrôlées par le clergé professionnel de la gauche bien pensante de la prescription culturelle qui montre son vrai visage dès lors qu'elle se sent menacée parce qu'elle est en train de perdre, en ce moment, son monopole culturel et moral sur bien des sujets...

Et le visage que montre cette gauche en perdition, que cela soit sur ce projet de "cité immersive des Vikings" ou sur celui de "Normandy Mémory 1944" qu'elle tente de torpiller depuis des mois, est franchement...

SINISTRE !

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Parlons enfin un peu de ce projet de cité immersive consacrée aux VIkings:

Et, pour reprendre un dicton cauchois trop repris par un ancien président de demi-région normande de sinistre mémoire, on dira qu'il y a les diseux voire les médiseux et les... faiseux!

https://actu.fr/normandie/rouen_76540/rouen-a-quoi-ressemblera-la-cite-immersive-viking-sur-les-quais-rive-gauche_60313407.html

Rouen. À quoi ressemblera la Cité Immersive Viking sur les quais, rive gauche

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Cités immersives est une société qui entend réinventer les musées. Elle va lancer sa première expérience à Rouen pour mettre en avant le monde Viking, dans le Hangar 105.

D’ici la fin du printemps 2024, un nouveau lieu de vie culturel va voir le jour sur les quais de la rive gauche de Rouen (Seine-Maritime), au Hangar 105 : la Cité Immersive Viking de Rouen.

Il va permettre de repenser la notion du musée et celle de l’expérience des visiteurs tout en mettant à l’honneur les Vikings.

À lire aussi

Cités immersives est une jeune entreprise, créée en 2023. « Aujourd’hui il y a environ 1000 musées en France. 30 % des Français vont dans des musées et nous pouvons constater que les musées d’histoire ont une conception vieillotte puisque 70 % des visiteurs trouvent leur découverte ennuyante alors que 83 % des Français se disent intéressés par l’histoire », expose Jean Vergès, fondateur et président de Cités immersives.

Développant le fait que la France est riche culturellement, Jean Vergès questionne : « Pourquoi n’y a-t-il rien sur le cinéma à Cannes, rien sur le Champagne à Reims et rien sur les Vikings à Rouen ? »

Émouvoir et captiver le public

« Notre ambition est d’émouvoir et de captiver ; d’impliquer pleinement le visiteur dans sa découverte. Cela passe par la stimulation des sens, par de nouvelles technologies, et par l’usage des procédés narratifs accessibles au plus grand nombre, tout en gardant l’exigence de rigueur et de sérieux qu’exige le récit de l’histoire ».

L’équipe veut que le spectateur soit pris aux tripes en entrant, qu’il puisse vivre sa visite et interagir. La célèbre Youtubeur Nota Bene a même été contacté pour donner encore plus de vie à ce projet, en créant des stèles qui permettront aux visiteurs de découvrir des capsules vidéo.

« La Normandie a été fondée et façonnée par les Vikings. Ces explorateurs, guerriers et commerçants, ont laissé dans ce territoire d’importantes traces culturelles qui sont encore visibles aujourd’hui. Cet héritage — encore présent dans le nom même des Normands ! — n’est pas assez mis en valeur dans la région, et encore moins à Rouen. C’est un manque dans l’offre culturelle normande : Rollon, le fondateur de la Normandie, n’a rien de plus qu’une statue dans un parc », rappelle Jean Vergès.

Le fait d’implanter ce projet Cités immersives viking — qui apparaît comme une nécessité culturelle aux yeux de ses concepteurs — en bord de Seine, ancre l’histoire de ces explorateurs dans le territoire rouennais. 

Nous ambitionnons d’attirer un public équivalent aux principales institutions culturelles de la ville, et de créer un pôle culturel autour de la mémoire médiévale et scandinave,

Jean Vergès.

Un directeur local et impliqué

Co-fondateur de la société et directeur général, Anthony Samama a rappelé qu’il était important de collaborer avec le maillage local public et associatif. Et c’est ce qui a été fait. Les concepteurs du projet se sont tournés vers Ludovic Garnier pour assurer la direction du site.

Habitant la région de Buchy, Ludovic Garnier est connu pour être le président passionné et fondateur de l’association Les enfants de Rollon. Cette association basée à Rouen rassemble environ 200 bénévoles qui ont à cœur de mettre en scène la culture viking. À travers celle-ci, il porte un engagement profond envers les valeurs promues par les Vikings telles que l’égalité femme-homme, la bravoure, l’audace et la quête de l’aventure. Depuis plusieurs années, il fait revivre ces Vikings à travers des spectacles, des week-ends vikings, et la construction des fameux drakkars.

« Sous la direction de cet homme de terrain, foisonnant d’initiatives, l’équipe de la cité immersive viking, riche de ses acteurs et médiateurs, promet une programmation culturelle riche et abondante afin de créer une nouvelle destination incontournable à Rouen », assurent les fondateurs de Cités immersives.

De nombreuses animations

Pour Ludovic Garnier, « C’est un cadeau inespéré. Nous allons développer les animations sur la Rive gauche. Nous allons compléter l’offre en animation sur les quais en proposant des animations régulières. J’ai déjà des idées en tête pour les animations. Nous choisirons des artisans locaux pour proposer des ateliers d’animation… Pour que les gens viennent au musée, il faut que le musée sorte du musée. La Cité sera tout sauf barbante, je vais y mettre toute mon énergie et je suis moi-même impressionné par celle de Jean et Anthony. Chaque personne venant ici en aura pour son compte ».

La cité immersive viking se composera de cinq salles racontant l’invasion, la colonisation, l’allégeance, la création du duché de Normandie et l’héritage viking. Dans ces salles, des objets vikings authentiques seront présentés, des décors monumentaux et interactifs reconstitués. Il y aura aussi des projections vidéo à 360° ou des immersions sonores.

L’objectif de Cité immersive viking est d’accueillir 100 000 visiteurs par an. Et le tarif d’entrée envisagé oscillera autour de 15 euros.

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Commentaires
G
Tant que ce machin est privé et ne sollicite aucun financement public ni dérogation aux règles d'urbanisme ou fiscales, aucune raison de s'y opposer, ça va dans le sens de l'époque, société de la distraction sans effort de la société du spectacle et de l'abêtissement que nous offre télé bolloré avec l'île de la tentation ou les emission d'hanouna.
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G
Si une certaine gauche se vautre dans un antifascisme fantasmé c'est pour faire oublier que le bon sens et le principe de réalité la mettent en porte à faux en permanence, ajoutant à cela anachronisme, paranoïa complotiste et mémoire sélective.<br /> <br /> J'ai lu ou entendu des arguments du type:<br /> <br /> - les vikings étaient des nazis parce qu'ils étaient blonds aux yeux bleus;<br /> <br /> - sur un blog dont j'ai oublié le nom et celui de l'auteur (j'ai mieux à mémoriser): "preuve que les normands sont d'extrême droite, les léopards font le salut nazi";<br /> <br /> - hommes politiques issus de la gauche: Déat, Doriot, Laval, Mussolini et Hitler qui était, de plus, végétarien tendance écologiste (cf le livre "Le brun et le vert").<br /> <br /> Tout ce que cette gauche a dit ou écrit sur l'inquisition catholique lui sera justement retourné en boomerang.<br /> <br /> Tout cela serait dérisoire, presque pitoyable, si ce n'était pas un crime contre l'intelligence et un sabotage de la démocratie.
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