Nicolas MAYER-ROSSIGNOL le félon...

Billet de Florestan:

Nicolas Mayer-Rossignol, plus félon que jamais est allé le premier débagouler contre le projet de contournement autoroutier Est de Rouen dans le bureau parisien d'un nouveau ministre des transports qu'il dit bien connaître en faisant passer le message qu'il l'a mis dans sa poche alors que ledit ministre confirme bien sa volonté d'entendre toutes les parties en lice dans ce dossier.

Les arguments du félon N°1 en Normandie?

1) ça coûte trop cher (surtout depuis que la Métropole de Rouen et le département de l'Eure ont décidé de se retirer du financement de la subvention d'équilibre avec l'idée d'obliger les promoteurs du projet de vendre ledit projet avec un péage prohibitif).

2) On ne pourra pas faire le RER ferroviaire rouennais Et le contournement autoroutier.

3) ça va exciter les militants gauchistes Zadistes, des gens que le maire de Rouen semble bien connaître eux aussi sachant que les futurs zadistes pourraient camper sur des terrains d'ores-et-déjà préemptés par la métropole de Rouen dans le dessein de bloquer la réalisation du projet.

4) Argument fauderche: c'est à l'Etat de trancher car le consensus normand n'existe pas! NMR est bien placé pour le savoir puisque c'est lui qui est le fauteur de troubles principal...

L'argument principal du N°1 Normand, Hervé Morin:

Le contournement autoroutier de Rouen est un projet d'intérêt national entre le Nord et le Sud-Ouest de la France pour contourner la région parisienne: c'est Emmanuel Macron qui va trancher pas le soi-disant copain du félon normand N°1.

https://www.tendanceouest.com/actualite-417680-rouen-devant-le-ministre-des-transports-nicolas-mayer-rossignol-defend-le-train-et-l-abandon-du-contournement-est

Rouen. Devant le ministre des Transports, Nicolas Mayer-Rossignol défend le train et l'abandon du contournement est

Chantier, travaux. Nicolas Mayer-Rossignol, le maire de Rouen, était reçu par le ministre des Transports, Patrice Vergriete, mardi 2 avril dans la matinée. Il a défendu à nouveau l'abandon du projet de double autoroute A133-A134, dit aussi contournement est de Rouen, pour mettre en avant les projets autour du ferroviaire.

Les deux hommes se connaissent bien. "C'est un ami", indique même le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol. Il était reçu, mardi 2 avril dans la matinée, par le nouveau ministre des Transports, Patrice Vergriete. Alors que des décisions fermes sur des projets d'autoroute, dont des abandons, devaient être annoncées par son prédécesseur, Clément Beaune, lui préfère relancer un énième tour de consultation. La double autoroute à péage A133-A134, appelée aussi contournement est de Rouen, en fait partie. Et c'était donc au tour du maire de Rouen, qui a fait sa campagne municipale contre le projet routier, d'être à nouveau entendu sur cette autoroute, évoquée pour la première fois en 1972…

"Il a compris le message, il n'y a pas de consensus au niveau local", indique l'élu, qui rappelle que la Ville de Rouen, la Métropole Rouen Normandie ou le Département de l'Eure se sont prononcés contre le projet. Le Département de Seine-Maritime, la Région Normandie ou une partie du monde économique le soutiennent. Les présidents de ces deux dernières collectivités, Bertrand Bellanger et Nicolas Mayer-Rossignol, doivent d'ailleurs être bientôt consultés à leur tour.

"Je pense qu'il voit que c'est trop cher et que ça peut dégénérer en une ZAD [Zone à défendre, ndlr]", soutient Nicolas Mayer-Rossignol sans en dire davantage sur le penchant du ministre sur la question.

Une volonté sur le train

D'autres sujets structurants ont été évoqués, et notamment le ferroviaire. Et sur la question, l'élu rouennais assure que Patrice Vergriete s'est montré enthousiaste, pour porter par exemple la LNPN (Ligne nouvelle Paris-Normandie), qui avance à pas de souris, mais aussi le projet de RER métropolitain. "Il y a de bonnes chances que notre projet soit retenu", insiste le maire de Rouen après son échange. Les projets retenus doivent être annoncés dans le courant de l'année. En tout cas, "on ne pourra pas tout financer, la priorité, c'est le train !", juge NMR, qui rappelle au passage que le coût du contournement était estimé à environ un milliard d'euros en 2015.

Lire aussi:

https://www.francebleu.fr/infos/politique/contournement-est-de-rouen-le-ministre-delegue-aux-transports-entend-a-nouveau-toutes-les-parties-8983784

Contournement Est de Rouen : le ministre délégué aux Transports entend à nouveau toutes les parties

Le contournement Est de Rouen revient sur le bureau du ministre délégué aux Transports. Alors que son prédécesseur avait prévu d'annoncer ses arbitrages sur les projets autoroutiers en début d'année, Patrice Vergriete a décidé d'entendre à nouveau toutes les parties, dont le maire de Rouen ce mardi.

La bataille entre les pro et anti contournement Est de Rouen (Seine-Maritime) est relancée par le ministre délégué aux Transports. Patrice Vergriete, en effet, a décidé d'entendre à nouveau toutes les parties dans ce dossier. Alors que son prédécesseur, Clément Beaune, avait annoncé des arbitrages et des décisions sur les projets autoroutiers pour le début d'année 2024, un nouveau remaniement est arrivé et a balayé, semble-t-il, ces décisions.

Depuis, le nouveau ministre délégué aux Transports, ancien maire de Dunkerque (Nord), a décidé de recevoir les élus locaux, qu'ils soient favorables ou non à ce projet d'autoroute à péage qui doit relier l'A28 à l'A13 en passant par l'Est de la métropole rouennaise.

Ce mardi 2 avril, Patrice Vergriete a reçu le maire de Rouen et président de la Métropole Nicolas Mayer-Rossignol, lequel lui a répété ses arguments en défaveur d'un projet "coûteux à plus d'un milliard d'euros et 500 hectares d'artificialisation" auquel la Métropole ne donnera pas un sou. "Il y a eu des élections municipales, un vote au conseil municipal, un vote au conseil métropolitain, un vote au Département de l'Eure et même un sondage" pour dire non à ce projet, énumère l'élu pour qui la priorité absolue doit être le train et non la route.

Une décision qui se fait attendre

Mais "c'est à l'État de trancher", conclut Nicolas Mayer-Rossignol. La décision "c'est Emmanuel Macron qui va la prendre", estime de son côté Hervé Morin, le président de la région Normandie, partisan du contournement Est de Rouen. D'après lui, avant le remaniement, "on avait le sentiment que parmi les quelques projets qui pourraient être retenus, il y aurait le contournement Est. Rouen et la Normandie ont besoin de cette infrastructure", insiste Hervé Morin, sur la même ligne que le président du Département de la Seine-Maritime, Betrand Bellanger. Ils pourront le dire à leur tour au ministre qui doit les recevoir dans les prochains jours.

Lire enfin dans Paris-Normandie (4 avril 2024):

Commentaire de Florestan:

1° Notre félon rouennais confond la démocratie et un petit sondage local en sa faveur: c'est inquiétant pour la démocratie...

2° Si les futurs péages s'annoncent élevés c'est la faute à Nicolas Mayer-Rossignol qui a emmené dans le sillage de son refus de financer le département de l'Eure. On rappelle le principe: plus la subvention d'équilibre apportée par les collectivités territoriales concernées par la future infrastructure est élevée plus le futur péage demandé sera modique. MNR est un félon doublé d'un saboteur!

3° A jouer le contournement autoroutier Est contre les projets ferroviaires RER métropolitain et LNPN, NMR prend le risque que nous ayons ni l'un, ni les autres! SUICIDAIRE !!!

VIVEMENT 2026 et que cet oiseau de malheur aille nicher comme tant d'autres à Paris!