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REVUE DE PRESSE NORMANDE au 21 janvier 2023: La LNPN? Pas avant... 2042!
REVUE DE PRESSE NORMANDE au 21 janvier 2023:
Après l'incendie des batteries au lithium stockées dans l'entrepôt Bolloré Logistics de Grand-Couronne survenu le 16 janvier dernier, plusieurs articles dans la presse locale sont revenus sur les conséquences de cet incendie en terme de pollution atmosphérique: les résultats sur les analyses des particules fines et de la qualité de l'air et l'éventuelle toxicité ont été publiés:
Sur paris Normandie:
-L’incendie de Bolloré Logistics était-il toxique ? Le décryptage de deux universitaires rouennais
https://www.paris-normandie.fr/id380010/article/2023-01-18/lincendie-de-bollore-logistics-etait-il-toxique-le-decryptage-de-deux
-Incendie chez Bolloré Logistics : pas de trace de substances toxiques dans l’Eure, selon la préfecture
https://www.paris-normandie.fr/id380015/article/2023-01-18/incendie-chez-bollore-logistics-pas-de-trace-de-substances-toxiques-dans-leure
-À Grand-Couronne, après l’incendie de Bolloré Logistics, la vie économique reprend comme elle peut
https://www.paris-normandie.fr/id379961/article/2023-01-18/grand-couronne-apres-lincendie-de-bollore-logistics-la-vie-economique-reprend
Incendie de Bolloré Logistics près de Rouen. 3300 inscriptions supplémentaires sur Alerte Risques
https://www.paris-normandie.fr/id379675/article/2023-01-17/incendie-de-bollore-logistics-pres-de-rouen-3300-inscriptions-supplementaires
Incendie à Bolloré Logistics : le regard d’un chercheur rouennais sur les risques engendrés
Quels risques liés à l’incendie d’un imposant stock de batteries au lithium et de pneus comme celui survenu au sein de l’entreprise Bolloré Logistics, lundi 16 janvier 2023 ? Matthieu Fournier, directeur du département géosciences et environnement à l’Université de Rouen, donne son appréciation.
D’un côté, le ressenti et les craintes d’une population face à un panache impressionnant, de l’autre une communication rassurante. L’incendie de 12 000 batteries au lithium et de 70 000 pneus dans un bâtiment de stockage à Grand-Couronne, lundi 16 janvier, a généré, comme à l’époque de Lubrizol, de vives interrogations sur la véracité à apporter au discours officiel.
En attendant de connaître le contenu des mesures réalisées depuis le début des interventions, que le préfet a promis de rendre publiques, nous avons sollicité Matthieu Fournier, directeur du département géosciences et environnement à l’Université de Rouen, pour tenter d’y voir plus clair.
Co-porteur du projet Copherl, qui cherche notamment à déterminer les conséquences de l’incendie du 26 septembre 2019, il se montre globalement rassurant quant au risque pour la population. « Un incendie de batteries au lithium génère des résidus de métaux lourds qui restent plutôt proches du sol, le risque est sur les sols et les eaux. Pour les pneus, on va retrouver des HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques), des composés organiques volatils, des dioxines/furanes. »
Rien d’anodin mais les mesures réalisées près de l’incendie par les pompiers n’ont pas établi d’« élément significatif », indiquait la préfecture. « Les analyses réalisées par les sapeurs-pompiers à leur arrivée sont des analyses classiques mais tout de même fournies, ajoute Matthieu Fournier. Leur but est de répondre à deux questions : avec quel équipement doivent-ils intervenir et y a-t-il un risque immédiat pour la santé ? »
« Heureusement », le panache a pris beaucoup de hauteur. Sans minimiser, mais à titre de comparaison, Matthieu Fournier alerte sur les risques que prennent des grévistes. « Je reste sidéré de voir des personnes qui font brûler des pneus et qui restent à un mètre du foyer. »
D’autres mesures ont été réalisées. Cette fois par Atmo Normandie, association agréée chargée de surveiller la qualité de l’air. « On s’est mobilisé dès 18 h quand nous avons été informés de l’incendie, relate Christophe Legrand, directeur adjoint. Entre minuit et deux heures, nous avons effectué des prélèvements par canisters à Grand-Couronne sous l’influence du feu. » Les canisters sont des bonbonnes sous vide que l’on ouvre délicatement pour récupérer l’air à analyser. Ils ont été envoyés hier à des laboratoires. Les résultats sont attendus sous 48 heures environ. Des prélèvements avec des sacs spéciaux ont également été entrepris. « Les pompiers sont sur le danger immédiat, abonde Christophe Legrand. Nous, nous allons chercher des concentrations beaucoup plus fines. »
Les stations d’Atmo ont enregistré un pic de PM 10 (particules fines) au passage du nuage. « On voit clairement sur Grand-Couronne un doublement des valeurs par rapport aux autres points de mesure. Ce maximum atteint (66 µg/m3 pendant une heure) est inhabituel mais le seuil journalier d’information et de recommandation n’a pas été dépassé, celui-ci est de 80 µg/m3 en moyenne sur une journée. »
Hier, Atmo a annoncé renforcer sa surveillance dans sept communes de l’agglomération rouennaise. Il s’agit de Grand-Couronne, La Bouille, Caumont, Hautot-sur-Seine, Moulineaux et Saint-Ouen-de-Thouberville. L’association y installera des échantillonneurs passifs à la recherche de composés organiques volatils (COV).
En ce jeudi 19 janvier 2023, la première journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites d'un gouvernement Macron qui dépasse la Borne a été un succès populaire manifeste partout en France et dans nos villes normandes: malgré quelques tentatives menées par des jeunes gauchistes radicalisés, il n'y eut pas d'incidents à déplorer à la fin des manifestations grâce à l'efficacité des services d'ordre des syndicats et des forces de police.
Plusieurs milliers de manifestants opposés à la réforme des retraites ont défilé à Rouen et au Havre mais aussi à Dieppe, Fécamp, Lillebonne, Evreux...
ttps://actu.fr/normandie/rouen_76540/retraites-greve-du-19-janvier-suivez-la-mobilisation-a-rouen-et-au-havre_56711867.html
17500 manifestants dans les rues du centre-ville de Caen selon Ouest-France. 1700 personnes à Lisieux...
Voir aussi:
Grève du 19 janvier. En Normandie, toutes les générations mobilisées dans la rue
Ils ont 20 ans, 30 ans, 40 ans, 50 ans, 60 ans, 70 ans et ils étaient, jeudi 19 janvier 2023, dans les rues d’Évreux, du Havre et de Rouen pour protester contre la réforme des retraites. Pendant qu’ils battaient le pavé avec des milliers de Normands, ils ont expliqué les raisons qui les poussent à crier publiquement leur colère.
L'intersyndicale a donc réussi son pari et le pari cynique macronien est pour l'instant démenti, à savoir que le chef de l'Etat comptait sur la lassitude et l'inflation pour tuer dans l'oeuf un mouvement de contestation qui pourrait prendre de l'ampleur.
La crise des Gilets Jaunes de l'hiver 2018 montre que M. Macron est prêt à risquer le pire avec la réalité pour imposer des décisions politiquement illégitimes: si le mouvement tient et s'amplifie, le risque est que le passage en force à l'Assemblée Nationale à l'aide d'un énième recours au 49-3 ne soit pas suffisant.
Le risque est grand pour l'exécutif d'avoir à subir une motion de censure du gouvernement qui pourrait être votée par une majorité de circonstance avec pour conséquence, une dissolution de l'actuelle chambre des députés et l'organisation de nouvelles élections législatives.
Le chômage a légèrement baissé en Normandie... Mais la Normandie de l'emploi reste toujours coupée en deux !
Le chômage est légèrement en baisse en Normandie, selon l’Insee qui vient de dévoiler ses chiffres pour le troisième trimestre. Les cinq départements normands connaissent cette baisse du chômage. La Manche a toujours l’un des taux de chômage les plus faibles de France.
Le chômage est en baisse en Normandie selon l’Insee qui vient de dévoiler ses chiffres du troisième trimestre 2022.
Selon l’Institut national de la statistique, le taux de chômage baisse légèrement dans la région par rapport au trimestre précédent pour s’établir à 7 %. Il est de 7,1 % en France métropolitaine. Sur un an, le chômage recule de 0,7 point en Normandie « et suit ainsi la tendance nationale », précise l’Insee.
En baisse dans tous les départements normands
Dans le détail, le taux de chômage est en baisse dans tous les départements normands, par rapport au 3ᵉ trimestre 2021, « de façon relativement homogène, excepté dans la Manche, où le taux de chômage est déjà historiquement bas ». Dans la Manche, le chômage baisse de -0,2 point ; dans l’Eure et en Seine-Maritime de – 0,8 point et dans le Calvados et l’Orne de – 0,6 point.
La Manche reste le département normand le moins touché par le chômage (5,3 %), suivi par le Calvados (6 %), l’Orne (6,7 %), l’Eure (7,2 %) et la Seine-Maritime (8 %).
« La Manche se situe au 6e rang des départements ayant les taux les plus faibles de France métropolitaine », précise l’Insee. En revanche, La Seine-Maritime « figure parmi les départements de France métropolitaine les plus touchés [par le chômage] au 76e rang national ».
Le dernier Conseil d'orientation des infrastructures vient de rendre son avis et il faut, hélas, constater que la Normandie avec deux grands dossiers, celui du contournement autoroutier Est de Rouen et celui de la LNPN, RESTE TOTALEMENT dans le flou!
Cela veut donc dire que la Normandie a TOUJOURS rendez-vous avec les calendes grecques faute d'avoir des élus réellement au service de l'intérêt général de notre région ou aiguillonnés par un lobby socio-économique normand qui... n'existe pas!
On apprend ainsi que la Ligne Nouvelle Paris Normandie dont on parle depuis 2010 ne pourrait être mise en service qu'en... 2042!
Le Conseil d’orientation des infrastructures (COI) a été chargé par le gouvernement d’étudier une programmation des investissements dans les transports. Dans un nouveau rapport, il s’interroge sur le bien-fondé du projet de contournement Est de Rouen. Pour les trains, l’avenir de la Ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) reste dans le flou.
Dans son rapport sur les investissements dans les transports, publié lundi 16 janvier 2023 par le site d’information Contexte, le Conseil d’orientation des infrastructures (COI) s’interroge sur la pertinence du projet du contournement Est de Rouen. Une interrogation partagée dans le chapitre consacré aux « maillons autoroutiers destinés à compléter le réseau structurant ».
« Des impacts environnementaux très importants »
Les élus et experts du COI se disent « partagés » concernant ce projet. Ils pointent « des impacts environnementaux très importants, bien que moindres que les options Ouest initialement envisagées puis abandonnées ».
« Revisiter le projet »
Le COI évoque également la dépense publique pour un tel projet. Le résultat de la consultation sur la mise en concurrence pour la concession autoroutière « permettra de préciser la subvention publique requise ». Elle est estimée pour l’instant à 500 millions d’euros pour un projet d’environ 900 millions.
Conclusion du COI sur ce dossier rouennais : « Au vu de ces éléments encore incertains, mais également en intégrant les politiques publiques mises en place depuis la déclaration d’utilité publique, nous suggérons au gouvernement de revisiter le projet avant de signer un contrat de concession. »
Plus globalement, le COI estime que tous ces projets anciens de contournement d’agglomération « méritent d’être repensés », notamment au regard des nouveaux objectifs de zéro artificialisation nette.
La LNPN lancée en 1991, en service en 2042 ?
Pour le rail, l’avenir de la Ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) est également évoqué dans le rapport du COI. Ce serpent de mer évoqué dès en 1991 prévoit l’amélioration des liaisons entre la capitale et la Normandie avec un nouveau tracé de la ligne.
Le délai de réalisation de ce projet maintes fois repoussé ? Difficile d’apporter une réponse à la lecture du rapport. Le COI décrit trois scénarios budgétaires pour ces investissements dans les transports.
Le premier, dit de « cadrage budgétaire », serait le plus impactant pour la LNPN. Selon le COI, il décalerait de 5 ans le lancement des projets autour de Saint-Lazare et « les premières phases de la LNPN ne seraient mises en service que sur le quinquennat 2038-2042 ».
Paris-Mantes et la traversée de Rouen prioritaires
Le scénario de « planification écologique » a les faveurs du COI. Pour la LNPN, il permettrait « l’engagement dans les délais prévus » des aménagements de nœuds ferroviaires comme Saint-Lazare. En revanche, les autres phases « seraient étalées dans le temps en privilégiant d’abord les opérations de désaturation des lignes et des nœuds comme Paris-Mantes et la traversée de Rouen avec une nouvelle gare ».
Le troisième scénario « priorité aux infrastructures de transports » permettrait « la réalisation dans ses phases successives du projet LNPN, d’ici 2042. »
Le rapport du COI doit être remis à la Première Ministre d’ici quelques jours.
Lire ci-après, l'article donné par le site spécialisé "contexte transports" qui publie une copie intégrale du rapport du COI et duquel nous extrayons les pages qui concernent les grands dossiers normands:
PP. 44 et suivantes, au sujet de la Ligne Nouvelle Paris Normandie: pas avant 2042!!!
PP. 104 Liaison autoroutière entre l'A28 et l'A13 (Contournement Est de Rouen):
Il va falloir envisager un projet moins coûteux pour un meilleur rapport entre subvention d'équilibre et mise en concession privée de la future autoroute afin d'éviter un péage trop onéreux s'il s'agit d'attirer sur cette nouvelle infrastructure le trafic routier de transit qui encombre le centre de la métropole normande.
PP. 114: Amélioration de la RN 13 entre Evreux et Chauffour-les-Bonnières:
Vers un retour du TGV Le Havre- Marseille du matin? On dirait qu'Edouard a fait chauffer son téléphone dans les cabinets ministériels parisiens:
Quand la SNCF Normandie communique on n'est jamais très loin du mensonge par omission!
Certes, la ponctualité des trains s'améliore, voisinant désormais les 95%. Mais quid des nombreux trains qui sont purement et simplement annulés?
La logique d'un fonctionnement type RER est clairement identifiée par la région Normandie sur les étoiles ferroviaires des principales villes normandes: exemple à la gare de Pont-de-l'Arche...
Port du Havre: les recours de nos amis écolos contre le projet de terminal méthanier flottant ont été rejetés.
GNL : la justice rejette les référés d’EELV contre le projet de terminal havrais
L’Antenne Vendredi 20 Janvier 2023
https://www.lantenne.com/GNL-la-justice-rejette-les-referes-d-EELV-contre-le-projet-de-terminal-havrais_a61036.html
Les deux recours déposés par EELV contre l’implantation d’un terminal GNL flottant au Havre ont été rejetés par le tribunal administratif de Rouen, ouvrant la voie à la construction du cinquième terminal de ce type en France.
Autres nouvelles maritimes:
Faute d'un lobbying suffisant, les ports Normands sont ignorés de cette coopération européenne interrégionale.
Nantes-Saint-Nazaire s’unit à cinq ports européens dans l’éolien offshore
Le port céréalier de Caen avec une écluse modernisée à Ouistréham et une connexion améliorée à l'autoroute A13 accueille, désormais, des navires de plus lourds tonnages.
Avec 24 200 tonnes de blé chargées à bord du vraquier Federal Fraser le 18 janvier, le port de Caen-Ouistreham établit un nouveau record et valide le programme de sécurisation de la grande écluse du port achevé il y a deux ans par Ports de Normandie.
Le GPM du Havre (HAROPA) retrouve la route maritime de l'Inde.
Hapag-Lloyd, le n° 5 mondial du conteneur, a annoncé que son service Europe - Inde dénommé IEX reviendra en mars à sa rotation initiale. L’escale hebdomadaire du Havre, supprimée en février 2022 à cause de la congestion portuaire de l’époque, sera réintroduite, comme celle de Visakhapatnam en Inde.
Le GPM du Havre (HAROPA) augmente ses capacités de stockage réfrigérées.
Seafrigo, le spécialiste de la logistique alimentaire, accroît ses capacités de stockage au Havre (Seine-Maritime). «Nous investissons 30 millions d’euros dans un entrepôt frigorifique de 11 000 m² qui sera opérationnel au troisième trimestre 2024», annonce Stéphane Desseigne, directeur du développement du groupe Seafrigo qui a réalisé 600 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2022 avec 1 350 salariés dans le monde, dont 750 au Havre, siège social.
L'émission de M6, "la meilleure boulangerie de France" s'arrête dans l'Orne à Briouze et Alençon:
(Commentaire de Florestan: il faudrait informer les journalistes parisiens de M6 que la "Basse-Normandie" c'est, tout simplement, la Normandie!)
Le tour de France le plus gourmand de la télévision repart pour une nouvelle saison. Dix ans déjà que notre jury parcourt les routes de France à la recherche des meilleurs artisans boulangers, ceux qui vous régalent jour après jour de leurs bons pains, cette semaine en Basse Normandie.
EN UN ÉCLAIR BRIOUZE (61)
Bienvenue dans le royaume de Julien, le roi incontesté de l’éclair dans son département ! Et un peu comme Booba et ses crevettes dans Forrest Gump, ce pâtissier de 38 ans est intarissable sur ce sujet ! Mais avant de devenir le grand spécialiste d’une des pâtisseries préférées des français, Julien s’est d’abord formé chez les compagnons du devoir. Une fois diplômé et après quelques années à parfaire son éducation pâtissière dans la région, il y a 9 ans, cet enfant du pays décide de reprendre avec sa compagne Déborah cette boulangerie briouzaine…quitte à bousculer les habitudes des villageois. Au fournil, le roi Julien, son boulanger Gaëtan et ses deux apprentis s’affairent quotidiennement pour proposer le meilleur à leurs sujets. Et dans cette boutique moderne entièrement refaite il y a 2 ans, ceux-ci ont le choix entre une quinzaine d’éclairs ultra léchés, une pâtisserie inventive ainsi qu’une large gamme de baguettes et de pains variés.
DU PAIN ET DES MAINS ALENCON (61)
Aymeric, 29 ans, est un boulanger épanoui formé chez les compagnons du devoir ! Grâce à cette formation, il a forgé son identité de boulanger. 4 années de tour de France qui ont lui permis d’acquérir une solide expérience professionnelle. Et c’est lors de son dernier stage à Bordeaux en 2017, qu’il va faire la connaissance d’Estelle, alors ingénieure en physique chimie. Une rencontre déterminante pour le jeune compagnon. En effet depuis leur ouverture il y a 2 ans, le couple s’épanoui pleinement dans cette ancienne stationservice transformée en Boulangerie. Si Estelle gère la boutique, Aymeric lui fait tout pour sortir une belle variété de produits, tous faits maisons, avec des recettes inspirées des 4 coins de France, compagnon du devoir oblige ! Au bout d’un an, c’est Flavien, pâtissier de formation, qui les rejoint dans l’aventure.
Candidature de Rouen au titre de capitale européenne de la Culture en 2028: on saura le 3 mars prochain si le "bid book" présenté par l'équipe de mercenaires oeuvrant à la candidature rouennaise fera un... bide ou non.
Dans le Sud du département de la Manche, on prend sa botte (comme le disent nos cousins du Québec...) en professionnel!
Solidur, une pépite normande qui innove...
Le patrimoine européen de la musique symphonique mis à la portée de tous, c'est possible au conservatoire de Poses dans l'Eure:
Et, pour finir, partageons quelques actualités de notre culture normande avec la dernière édition de la novelette de la Ferme Culturelle du Bessin:
Vendredi 27 janvier 2023 à 18H30
Café-normaund / Entrée gratuite
Un événement mensuel pour sauvegarder et promouvoir la langue normande, et fédérer toutes les initiatives allant en ce sens.
"J'préch'rai normaund, non pas la goule froumé, mais byin hrâot, sans bédjér, coume eune houme qu'a paôs l'ssi tumber l'préchi dé tcheu li dauns les salouns d'Paris"
Barbey d’Aurevilly
Une soirée organisée en coopération avec la FALE (Fédération des Associations pour la Langue normandE) et avec le soutien de la CAF du Calvados, de la Région Normandie, de la CDC Seulles Terre et Mer et des communes de Creully-sur-Seulles, Vaux-sur-Seulles, Esquay-sur-Seulles, Vienne-en-Bessin et Le Manoir
+ d'infos
Assemblée Générale 2023 de la FALE
L’Assemblée Générale annuelle de la FALE se tiendra à la Mairie de Tourville-en-Auge, dans le Calvados, le dimanche 12 février 2023 à partir de 10h00. Venez nombreuses et nombreux pour la sauvegarde de la Langue Normande.
+ d'infos
Trois langues disparaissent chaque mois : comment l'expliquer ?
Un article très instructif de Michel Feltin-Palas dans l’Express.
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