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REVUE DE PRESSE NORMANDE au 4 mars 2024: "Rouen, une position centrale par rapport aux périphéries."
Revue de presse normande au 4 mars 2024...
La mémoire est recyclable...
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Dans Télérama, la journaliste Fabienne Pascaud dans un papier sur Pierre Corneille découvre le fait historique qu'au début du XVIIe siècle, Rouen était la seconde ville de France et sa métropole maritime internationale...
Mais elle peine à le dire vraiment et quand Pierre Corneille monte à Paris il s'y trouve "perdu" sic! Le parisianisme de la presse cultureuse subventionnée par nos impôts est consternante de mépris!
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Pour en savoir plus sur l'horloge du Gros-Horloge de Rouen qui fascine tant Mme Fabienne Pascaud, on lira cet article plus documenté qui rappelle lui l'importance de la ville de Rouen en France au XVIIe siècle:
Découvrez les secrets du Gros Horloge, le monument le plus connu de Rouen | 76actu
Il rouvre ce samedi 2 mars 2024 après plusieurs mois de travaux. Mais savez-vous tout du Gros Horloge, monument le plus emblématique de Rouen ? Découvrez ses secrets. Il a dû fermer pendant plusieurs mois en raison de travaux.
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Mais ça y est, le Gros Horloge va pouvoir rouvrir ses portes au public le samedi 2 mars 2024. Monument le plus emblématique de Rouen, il a de nombreux secrets qu’on s’empresse, bien sûr, de vous révéler. Ce lieu a été rouvert au public en 2006. Il est depuis possible de le visiter et d’observer le mécanisme de l’horloge avec en bonus une vue imprenable sur la ville du haut du beffroi. Le beffroi est la partie la plus ancienne de l’ensemble. Il date du XIIe siècle, époque à laquelle Rouen a acquis le statut de commune et le droit de cloche. On peut d’ailleurs en y montant découvrir les deux cloches du Gros Horloge : la Rouvel, qui a notamment sonné la révolte de la Harelle, et la Cache-Ribaut, qui servait à indiquer le couvre-feu puis les horaires de travail. L’horloge a elle été construite en 1389, d’abord sous la direction de Jourdan Delettre, puis sous celle de Jean de Felain, qui deviendra le premier gouverneur de l’horloge. Les gouverneurs ont officié jusqu’en 1970. Ils vivaient sur place et avaient pour charge d’entretenir l’horloge, de remonter le mécanisme plusieurs fois par jour, puis plus tard de gérer une boutique installée dans le lieu. Le Gros Horloge est l’une des plus anciennes horloges publiques de France et même d’Europe. Elle est ainsi l’un des ancêtres de Big Ben ou des horloges de Prague et Venise. Son mécanisme est resté presque inchangé pendant longtemps, avant de finir par adopter un système électromécanique au XXe siècle. L’horloge a d’abord simplement sonné les heures, puis deux cadrans ont été ajoutés en 1410. Ils ont disparu au début du XVIe siècle lors de la destruction de la porte Massacre pour être remplacé par deux nouveaux cadrans de style renaissance que l’on connaît aujourd’hui. Ils ont la particularité d’indiquer les cycles de la lune matérialisés par un globe situé au-dessus, et les jours de la semaine dans un cartouche installé dans la partie basse. La découverte du Gros Horloge offre une plongée dans l’histoire de Rouen, deuxième ville de France jusqu’au XVIIe siècle, du nom de ses rues, de ses sources, et de son évolution. Tout cela est raconté dans un audioguide distribué à l’entrée à travers le récit, divisé en plusieurs séquences, du personnage de Narcisse Eugène Osmont, qui fut l’un des 25 gouverneurs. En une centaine de marches et une trentaine de minutes, les visiteurs découvrent les particularité architecturales, techniques et historiques du lieu. Tout au long de la visite s’offrent également à leurs yeux, à travers les fenêtres puis sur le panorama final, des vues atypiques sur la ville et les rues environnantes. Le bâtiment étant difficilement accessible aux personnes en situation de handicap, il est possible de regarder un film commenté par le dernier horloger, Dominique Charlet, en se rendant à la boutique situé dans le passage attenant, afin d’apprendre l’essentiel sur ce lieu fascinant.
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Cidre: les Bretons sont conquérants tandis que les Normands arrachent leurs pommiers:
Connue pour son cidre Val de Rance, cette coopérative veut planter 500h de vergers Boostée par ses jus de pommes, la coopérative costarmoricaine “Les Celliers associés” anticipe l’avenir. Elle prévoit de planter 500 ha de vergers à partir de 2026. Et cherche de nouveaux producteurs adhérents, en Bretagne et en Normandie.
Son cidre Val de Rance a longtemps été sa tête de gondole. Mais c’est aujourd’hui grâce à ses jus de pommes que la coopérative Les Celliers associés, historiquement basée à Pleudihen-sur-Rance, près de Dinan, dans les Côtes-d’Armor, poursuit sa croissance. « On vient de finir l’année sur une augmentation de 5 % de volume, se félicite Philippe Musellec, le directeur général. On a vu une vraie cassure à partir de 2019. On était à un peu moins de 300 000 hectolitres. On frôle désormais les 500 000 hectolitres, alors que notre volume de cidre n’évolue plus beaucoup. Le jus de pomme est devenu notre première activité. »
« Un marché dynamique »
Et ça ne devrait pas tourner au vinaigre de sitôt. « On est sur un marché dynamique, à la différence du jus d’orange par exemple », poursuit le dirigeant de cette coopérative employant près de 150 personnes entre les Côtes-d’Armor et son site à Condé-sur-Vire, dans la Manche. Elle s’est engouffrée dans plusieurs créneaux : le jus de pommes bio origine France, pour lequel les enseignes de grandes distributions l’accompagnent, la juste rémunération des producteurs, le terroir ou encore la partie environnementale avec sa propre marque Sous le pommier.
Bienvenue, cette croissance imprime néanmoins un rythme soutenu. « La dernière campagne n’a pas été très importante, retrace le directeur général. On a été obligé d’aller chercher de la pomme un peu partout en France. Ce n’est pas ce qu’on veut. Aujourd’hui, on aurait besoin de 57 000 tonnes de pommes. Or, nos producteurs sont en capacité d’en livrer à terme 43 000 tonnes. Et sur les 1 300 ha actuels, on a certains vergers vieillissants. »
D’où l’ambition de planter près de 500 ha de pommiers entre 2026 et 2028. Pour l’instant, la coopérative travaille avec 330 producteurs, répartis en Bretagne et en Normandie. « Du côté normand, une partie va planter. Les Bretons n’ont quasiment plus de terres disponibles ou ont déjà suffisamment grand, note Philippe Musellec. Il va falloir ouvrir à des non-adhérents, principalement des gens qui veulent se lancer. »
Anticiper aussi le changement climatique
Pour attirer de nouveaux producteurs, Les Celliers associés « financent les arbres, le palissage si nécessaire et ils nous remboursent une fois qu’ils ont de la production » . Reconnue organisation de producteurs, la coopérative bénéficie aussi d’un fonds européen permettant une aide pour le matériel. « On garantit de prendre les pommes tout au long de la vie du verger. En contrepartie, le producteur doit nous livrer la totalité de ses pommes », précise le directeur général, qui n’exclut pas d’élargir le périmètre aux Pays de la Loire ou au bassin parisien.
En cohérence avec les perspectives de développement, les prochaines variétés plantées seront davantage destinées à la production de jus de pomme. « On fait aussi attention à sélectionner des variétés moins demandeuses en eau. Ces vergers produiront encore en 2050. »
Pour mémoire, on rappelle qu'en 2023 la coopérative normande "AGRIAL" qui commercialise, par ailleurs, le vrai-faux cidre breton du gars qui a toujours "Raison" avec des pommes normandes, faisait arracher les pommiers des 400 hectares du domaine de Longueville près de Dieppe:
Voir aussi cette archive de Sire de sei:
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Le grand retour de la vigne dans le bocage normand du côté du lycée agricole de Vire:
La vigne fait son retour à Vire Normandie | La Voix le Bocage (actu.fr)
La vigne fait son retour à Vire Normandie
Jeudi 22 février 2024, la vigne a fait son grand retour à Vire Normandie. 60 pieds ont été plantés dans une parcelle du lycée agricole.
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La route solaire de Tourouvre c'est fini!
« De l'argent jeté à la poubelle » : La route solaire de Tourouvre, c'est fini Sept ans après son inauguration, la première route solaire mondiale de Tourouvre (Orne) va être démantelée. Une expérience qui n'a pas fait l'unanimité des habitants de la commune.
« De l'argent jeté à la poubelle » : La route solaire de Tourouvre, c'est fini | Le Perche (actu.fr)
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A Manéglise c'est bien le cadavre d'un loup qui a été retrouvé:
Manéglise. Retour du loup en pays de Caux : quelle histoire ! (lecourriercauchois.fr)
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A Saint- Vaast-La-Hougue, la statue de la Vierge Marie de la chapelle des marins pourrait faire l'objet du mécénat de la Fondation de la Sauvegarde de l'Art français:
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Patrimoine : un appel aux votes pour restaurer la Vierge à l’enfant de Saint-Vaast-la-Hougue
La statue de la Vierge à l’enfant de la chapelle des marins, à Saint-Vaast-la-Hougue, est le seul objet de patrimoine local de la Manche sélectionné pour figurer à la campagne de mécénat de la Fondation la sauvegarde de l’art français. Un vote s’ouvre en ligne, le vainqueur régional (trois candidats) gagnera 8 000 € pour sa restauration.
Communications de l'agence normande de l'attractivité régionale:
Innovations normandes: la mer peut soigner le cancer à l'aide de micro-algues marines.
Bilan normand du Salon International de l'Agriculture: la Normandie est au 6ème rang national pour le nombre de récompenses récoltées:
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127 |
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C’est le nombre de médailles gagnées cette année par la Normandie au concours général agricole dans le cadre du Salon de l’Agriculture à Paris. 127 médailles, dont 39 en or pour ses vins et produits. Une belle 6ème place pour cette 60ème édition ! |
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Une fusée normande en préparation |
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A Vernon, dans l’Eure, MaiaSpace est une start-up qui vise les étoiles. Ses ingénieurs travaillent en effet à mettre au point le premier lanceur européen réutilisable, à l’image de celui de SpaceX, d’Elon Musk, outre-Atlantique. Pour le premier vol d’essai, la fusée normande sera équipée de moteurs déjà existants fournis par ArianeGroup, également présente sur le territoire. |
Décidément! Même l'agence normande de l'attractivité régionale a du mal à placer Rouen sur la carte puisque la métropole régionale normande officiellement en titre est qualifiée dans le témoignage suivant de "coeur de toutes les périphéries..." (sic!!!)
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« Rouen a cet avantage d’être au cœur de toutes ces périphéries » |
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Originaire de Loire-Atlantique, William a choisi de s’installer à Rouen pour ses études : en 7ème année de médecine générale à l’Université de Rouen-Normandie, le jeune homme de 26 ans découvre peu à peu les richesses – historiques et gastronomiques - de la Normandie avec plaisir !
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William Cattoni - Normandie Attractivité (choisirlanormandie.fr)
"j’ai retenu Rouen pour sa position centrale par rapport aux périphéries"
On appréciera la carte postale normande posté par ce néo-normand venu de Nantes: le horsain, assume... Rouen est un choix par défaut. Mais derrière la "position centrale par rapport aux périphéries" il y a la belle surprise de la Normandie...
Je m’appelle William, j’ai 26 ans, je me suis installé à Rouen en novembre 2023 pour réaliser ma 7e année de médecine générale à l’UFR santé de l’Université de Rouen Normandie. Initialement, je souhaitais aller du côté de Strasbourg, mais mon classement, au concours national, ne me permettant pas d’aller dans cette ville, j’ai choisi Rouen (sic!). Bien que d’autres options comme Caen, Amiens ou Besançon se soient présentées, j’ai retenu Rouen pour sa position centrale par rapport aux périphéries. En effet, en choisissant une ville au concours d’internat, je peux être amené à être envoyé dans toute la région ex Haute-Normandie, comme à Dieppe, au Havre… et Rouen a cet avantage d’être au cœur de toutes ces périphéries.
Aussi, étant un ancien rameur de haut niveau avec le club de Nantes et ayant dû arrêter ce sport à cause des études, je suis heureux de pouvoir le reprendre, cette année, sur la Seine au sein du CNAR, le Club Nautique et Athlétique de Rouen. Le cadre est idyllique et l’on peut faire de longues et belles sorties.
La Normandie et moi
Je n’ai pas eu l’occasion de beaucoup bouger de Rouen depuis que je m’y suis installé. Mais ce que j’ai pu entrevoir m’a convaincu que la Normandie regorge de trésors historiques et d’une excellente gastronomie. C’est incroyable de voir, à Rouen, toutes ses chaumières (sic!) pittoresques, le Gros-Horloge, la Place du Vieux-Marché et la Cathédrale Notre-Dame… J’aime déambuler dans les rues, découvrir les nombreux restaurants locaux et goûter les spécialités normandes comme la Teurgoule ou le camembert.
Lors de mon arrivée, j’ai été émerveillé par le bocage normand que l’on peut apercevoir sur les routes de Normandie. J’ai aussi pu visiter le magnifique petit village (sic!) de Honfleur. J’aimerais bien, quand le temps me le permettra, réaliser le GR21 afin de découvrir les côtes normandes.
Mon rôle d’ambassadeur
Après avoir passé un certain temps à Nantes, j’ai hâte d’accueillir ma famille et mes amis en Normandie pour leur montrer les atouts de la région et leur faire goûter les produits délicieux que j’ai découverts ici. C’est également un honneur d’intégrer cet immense réseau normand pour partager nos différentes visions de la Normandie.
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Les dernières nouvelles de la langue normande:
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