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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
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6 mai 2024

REVUE DE PRESSE NORMANDE au 6 mai 2024 : une baleine normande retrouvée à la BNF...

REVUE DE PRESSE NORMANDE au 6 mai 2024:

 

A noter sur vos tablettes normandes !

Les 18 et 19 mai 2024, grande fête du pain à l'abbaye-aux-hommes de Caen


 

https://www.ouest-france.fr/normandie/avenay-14210/avenay-la-fete-du-pain-se-tiendra-a-caen-pour-la-2e-annee-consecutive-5ef9d7be-03d1-11ef-96ca-1f5070c64e9b


 

Pourquoi la fête du pain se déroule-t-elle à Caen ?


 

La Fête du pain est une fête historique qui se tient dans le village d’Avenay (Calvados) depuis trente-sept ans, toujours le 3e week-end de juin. « Nous avons fait face au départ de plusieurs bénévoles. C’est un gros évènement. La dernière édition qui s’est déroulée à Avenay en 2022 avait accueilli 5 000 visiteurs et entre 400 et 600 repas le midi. Cet évènement est aussi organisé avec plusieurs partenaires dont le lycée Rabelais (à Ifs), le groupement artisanal des boulangers pâtissiers du Calvados et propose un concours réservé aux professionnels avant les jours ouverts au public. Nous voulions maintenir ce concours qui est renommé », souligne Philippe Marguerite, président du comité des fêtes.


 

« L’une des membres de l’association travaille avec le Conseil régional et nous avons eu l’opportunité d’organiser cette manifestation dans le cadre exceptionnel de l’abbaye aux Dames, à Caen, en 2023. Pour cette nouvelle édition, nous renouvelons cette organisation et le Conseil régional nous aide sur l’aspect logistique », complète Isabelle Marguerite, trésorière du comité des fêtes.


 

Qu’est-il prévu pour cette 39e édition ?


 

L’évènement débutera vendredi 17 mai 2024, avec le concours de pains. « Il est réservé aux boulangers. Les pièces fabriquées aux différents concours seront exposées au grand public les jours suivants. Les visiteurs pourront ainsi découvrir des pains décorés, des croques en bouche, des viennoiseries créatives ou autres pièces artistiques de pâtisserie », partage Isabelle Marguerite.


 

Le samedi et le dimanche sont ouverts au public avec des expositions et animations autour du pain et des métiers du pain. « Il y aura des démonstrations des élèves du lycée Rabelais dont deux de leurs professeurs sont Meilleurs ouvriers de France et l’un est champion d’Europe de boulangerie », indique Isabelle Marguerite.


 

Samedi 18 et dimanche 19 mai 2024, de 10 h à 17 h, Fête du pain, à l’abbaye aux Dames, à Caen. Entrée et parking gratuits. Renseignements : comitedesfetesavenay14@gmail.com

 

LNPN: voici revenu le temps des grandes concertations... Attention! Un diable niche dans chaque pli de la carte normande!

 

Ouest-France (5 mai 2024)

 

https://www.ouest-france.fr/economie/transports/ligne-nouvelle-paris-normandie-debut-de-la-concertation-publique-en-normandie-et-en-ile-de-france-0dea837a-086b-11ef-baa8-87f53ab61af3

 

Ligne nouvelle Paris-Normandie : début de la concertation publique en Normandie et en Île-de-France

À partir du lundi 6 mai 2024, un temps de concertation sera mis en place autour de la future ligne nouvelle Paris-Normandie. Notamment avec les habitants concernés par les tracés de deux nouvelles sections : Rouen/Barentin en Seine-Maritime et Nanterre/Mantes-la-Jolie en Ile-de-France.

 

Dès lundi 6 mai 2024, les habitants des territoires normands et franciliens sont invités à prendre connaissance du projet de ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) dans le cadre de réunions d’information et d’ateliers de travail.

 

Le projet, au premier chef les deux futurs tronçons Rouen/Barentin (quinze kilomètres) et Nanterre/Mantes-la-Jolie (quarante kilomètres), est également consultable sur le site internet www.lnpn.fr où l’on peut déposer remarques, avis et critiques sur les différents scénarios de tracés, la réalisation des ouvrages de raccordement au réseau existant, ou encore échanger sur la future gare Rouen Saint-Sever Rive Gauche, à Rouen.

 

Pourquoi la LNPN ?

 

La LNPN vise à doter progressivement les territoires de la vallée de la Seine de liaisons ferroviaires performantes sur les axes Paris – Mantes – Rouen, Le Havre – Paris – Mantes, Évreux – Caen – Cherbourg, Rouen – Évreux et Rouen – Caen. Le projet comprend la réalisation successive de sections de ligne nouvelle, avec en premier lieu les sections Nanterre (Hauts-de-Seine) – Mantes-la-Jolie (Yvelines) et Rouen – Barentin (Seine-Maritime) incluant la future gare de Rouen Saint-Sever.

 

Ces réalisations permettront la désaturation des nœuds ferroviaires du Mantois. « On parle bien d’une séparation réelle des flux entre les trains franciliens et normands, décrit Didier Roblès, directeur du projet chez SNCF Réseau. Entre Nanterre et Mantes-la-Jolie, la nouvelle section créée ne sera empruntée que par les trains normands (plus rapides), et non les transiliens ou RER (plus lents). La vitesse pourrait atteindre 200 km/h contre 130 km/h actuellement. »

 

 

Des trains plus fréquents, plus rapides, plus ponctuels

 

Entre Paris (gare Saint-Lazare) et la Normandie, la LNPN doublera les fréquences en heure de pointe des trains normands, aussi bien vers Rouen – Le Havre que Caen – Cherbourg. Et grâce aux voies nouvelles, les vitesses pourront atteindre jusqu’à 250 km/h.

 

Entre l’Île-de-France et la Normandie, l’objectif est de relier – pour les trains les plus rapides – Paris au Havre en 1 h 50 (avec arrêt à Rouen) contre 2 h 10 actuellement, Paris à Caen en 1 h 45, contre 2 h actuellement. Paris – Rouen, qui s’effectue en 1 h 15 aujourd’hui, pourra être relié en 1 h dès la mise en service des premières sections.

 

Rouen – Barentin, un impact à minimiser

 

Pour atteindre l’objectif de ces liaisons ferroviaires plus performantes, deux nouvelles sections verront le jour. S’agissant du tronçon Rouen – Barentin, plusieurs tracés sont à l’étude et soumis aux habitants. « Emprunter davantage de terres agricoles, traverser une forêt, s’engager dans une zone d’activités ou d’habitations ? Les options ne sont pas sans conséquence et ne manqueront pas de faire réagir », concède Didier Roblès.

 

« L’ambition est de nourrir le projet autant que de minimiser ses impacts. Nous allons être attentifs à ce qu’il y ait le minimum de dommages apportés aux individus », appuie Didier Pastant, directeur général adjoint des transports et de l’aménagement du territoire à la Région Normandie.

 

Le Mantois à reconfigurer

 

La concertation concerne également le tracé entre Nanterre et Mantes-la-Jolie. La Région Île-de-France est « bienveillante et bien encline » à accompagner la LNPN, assure Stéphane Beaudet, vice-président de la Région Île-de-France chargé des transports.

 

Question financement cependant, il rappelle « trois conditions posées par la présidente Valérie Pécresse » : « L’enfouissement d’une partie de la ligne sur la partie nord du département des Yvelines » ; que « le service fret ne se fasse pas au détriment des voyageurs avec une priorité aux transports du quotidien » ; enfin, un « maintien de la desserte du Mantois traité dès le début ».

 

Une nouvelle gare à Rouen

 

Sans la LNPN, la SNCF prévoit une augmentation de 27 % de la fréquentation en Gare de Rouen rive droite, avec 9 millions de voyageurs par an. « Avec la LNPN, ce serait + 34 % de fréquentation attendue avec les deux gares, soit 12 millions de voyageurs par an, rapporte François Nourrit, directeur projet gare chez Gares & Connexions. La gare de Rouen Rive Droite est déjà proche de la saturation, et sa configuration actuelle ne permet pas d’envisager une évolution du trafic qui y transite. »

 

Et si la prochaine gare Saint-Sever n’intègre pas la concertation publique, les futurs trains emprunteront un tunnel d’une longueur de 8 ou 9 kilomètres afin de traverser la Seine. Plusieurs tracés sont envisagés pour rejoindre ensuite le plateau de Caux. Et là, la concertation avec les habitants est de mise.

 

Coût et calendrier

 

Le coût des aménagements prioritaires de la LNPN est évalué à 5,3 milliards d’euros, correspondant à la réalisation des deux sections soumises à la concertation, incluant la future gare de Rouen Saint-Sever.

 

Pascal Sanjuan, préfet, délégué interministériel au développement de la vallée de la Seine, dit espérer « une réelle participation des habitants », tout en rappelant que « le projet LNPN, déjà évoqué en 2009 lors de la réflexion sur le Grand Paris, est nécessaire pour résoudre le problème de quasi-saturation du réseau, favoriser un report significatif du trafic routier de marchandises vers le ferroviaire, en complément du report vers le fleuve ».

 

Après la concertation avec le public jusqu’en 2025 viendra le temps de l’enquête publique en 2026, d’une déclaration d’utilité publique attendue en 2027-2028, d’un démarrage des études détaillées et de la réalisation des aménagements prioritaires en 2029, pour une mise en service de la LNPN en 2035.

Une vidéo caennaise court les réseaux sociaux :

 

 

Dans la dernière édition du Monde Magazine, les journalistes parisiens découvrent étonnés les problématiques des îles anglo-normandes notamment celle d'un lien plus solide sinon fixe pour relier l'équivalent d'un sixième département normand aux cinq autres.

 

 

Dans les médias régionaux, la Normandie en ce début mai 2024:

 

80ème Anniversaire et son appropriation usage des « viaducs » de Mai en Normandie Calvados 5 Mai 2024

https://www.tf1.fr/tf1/jt-20h/videos/le-20-heures-du-dimanche-5-mai-2024-72649325.html

23’ après le début du JT : ça se passe bellement dans le Calvados à Merville-Franceville, dans l’Estuaire de l’ORNE (ou « Bora, Bora »).


 

« Ici 19-20 » France 3 Normandie Caen :

https://www.france.tv/france-3/normandie/ici-19-20-normandie/5937282-emission-du-dimanche-5-mai-2024.html

Les Vikings débarquent au Château de Pirou….

Quand un Normand revisite le mythe de Jonas: une curiosité retrouvée à la BNF...

 

https://www.historia.fr/societe-religions/vie-quotidienne/comment-une-baleine-echouee-en-normandie-en-1894-a-ete-transformee-en-salle-de-spectacle-2090013?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

 

Insolite : comment une baleine échouée en
Normandie en 1894 a été transformée en
salle de spectacle

 

 

Parmi les trésors disponibles dans Gallica, bibliothèque numérique de la BnF et de ses partenaires, figure cette photographie de l'étonnant théâtre-baleine ouvert le 1er juillet 1894.

 

Le 21 octobre 1893, une baleine s’échoue sur la plage de Cricqueboeuf à Villerville et y meurt quelques heures plus tard. À cette époque, la commune de presque 1000 habitants possède un casino dirigé par le comédien Simon-Max. Ce dernier est à la recherche d’idées pour promouvoir son établissement sans cesse mis en concurrence avec celui de Trouville. Il achète la carcasse pour quelques centaines de francs, il vend la chair et l’huile, utilisée comme combustible pour les lampes à huile, et fait naturaliser le reste chez un taxidermiste.

 

Simon-Max installe ensuite le cétacé face à son casino qui devient l’attraction de la ville, la « plage [est] en liesse », les touristes se pressent pour voir de près la créature marine. En faisant appel à un taxidermiste, le directeur avait l’idée farfelue d’aménager l’intérieur de l’animal en théâtre dans lequel environ 80 spectateurs pourraient prendre place. L’ouverture de cet original théâtre est célébrée le 1er juillet 1894. Le carton d’invitation explique « le public entrera par la tête du cétacé et sortira par… l’autre côté ».

 

L’humour du directeur s’invite aussi dans le programme qui prévoit la représentation de Jonas et les sirènes, une pièce en deux actes relatant l’histoire du personnage biblique dévoré par une baleine. Une belle mise en abyme pour le public.

 

Passé l’été 1894, l’animal part en tournée tel un théâtre ambulant, d’abord sur la côte du Calvados puis à Paris où il périra dans les flammes. La drôle de salle de Simon-Max disparaît, en effet dans un incendie au Casino de Paris dans la nuit du 25 au 26 février 1895.

Soyons positifs!

 

La Normandie qui réussit, c'est avec ceux qui ne restent pas les deux pieds dans le même sabot, qui n'attendent pas tout de l'Etat ou du bienveillant intérêt de nos voisins bretons...

C'est cet état d'esprit que l'on veut. On peut faire de belles choses nous mêmes !

 Exemple ici dans l'élevage où tout a démarré (et loin des métropoles) dans l'Orne. 


https://www.bfmtv.com/normandie/replay-emissions/le-12h30-17h/orne-la-success-story-de-cinq-eleveurs_VN-202405060464.html?at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=NL_BFM_NORMANDIE&at_creation=BFM_Regions

https://www.leseleveursdelacharentonne.fr/

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