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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
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21 mai 2025

REVUE DE PRESSE NORMANDE au 21 mai 2025: A Rouen, fort heureusement, il n'y a pas que... Thomas Jolly et le Meilleur Rossignol!

Billet de Florestan:

 

L'idéologie d'extrême-gauche? ça coûte trop cher!

 

L'idéologie progressiste d'extrême gauche est puissante mais elle a un gros point faible: elle a besoin d'être subventionnée par l'argent qu'elle ne sait pas avoir pour être puissante et s'imposer. A l'instar d'une baudruche qu'il faut savoir ne plus gonfler, c'est la fin des subventions ou, plus prosaïquement, les difficultés financières présentes et à venir qui constituent la meilleure réponse pour stopper la progression de l'idéologie progressiste d'extrême gauche à l'instar de la ... panne sèche en carburant qui stoppèrent les chars d'Hitler dans les immensités russes de l'été 1942.

 

L'aveu:

 

« La part d’argent privé nécessaire à la tenue du projet 14 n’est pas atteinte. Par conséquent, la part d’argent public envisagée pour ce projet n’est pas sollicitée. »

 

La baudruche devient trop chère à gonfler... plus de dix millions d'euros réclamés pour la jolie fête programmée par Thomas Jolly pour le 14 juillet à Rouen alors que pauvreté et misère existent sur le territoire de la "métropole". Mais une baudruche, qui plus est, crevée pour de sordides raisons politiciennes sur fond de guerre des gauches pour l'instant irréconciliables à un an des prochaines élections municipales.

 

Dernière démonstration à Rouen: 

 

« Tout cela est navrant » : le projet de fête du 14 juillet de Thomas Jolly à Rouen est abandonné

 

« Tout cela est navrant » : le projet de fête du 14 juillet de Thomas Jolly à Rouen est abandonné
 

Ce mardi 20 mai 2025, le président de la Métropole Nicolas Mayer-Rossignol a annoncé l'abandon du projet 14.7 qui devait se tenir à Rouen (Seine-Maritime).

Le projet n’aura pas tenu. Huit jours après sa présentation aux élus de la Métropole, le 12 mai 2025, la grande fête du 14 juillet portée par Thomas Jolly et qui devait se tenir à Rouen (Seine-Maritime) est annulée. C’est Nicolas Mayer-Rossignol, le président, qui en a fait l’annonce via un communiqué ce 20 mai 2025.

« Ce projet représentait une opportunité unique en termes de culture, de rayonnement et d’attractivité », lance-t-il en regrettant que le très ambitieux projet tourne finalement au fiasco.

« Une petite minorité politicienne a préféré la polémique »

Plus qu’une annonce d’abandon de projet, Nicolas Mayer-Rossignol veut tacler une « petite minorité politicienne a préféré la polémique en refusant de rencontrer Thomas Jolly ». Rappelons tout de même que l’opposition et une partie de la majorité, dont certains de ses vice-présidents, se sont opposées au projet.

« Il fut un temps où la droite, celle de Jean Lecanuet, n’hésitait pas à prendre des risques pour porter de grands projets ambitieux : c’est ainsi qu’est née l’Armada. Il fut un temps où toute la gauche soutenait réellement la Culture. […] Aujourd’hui les temps ont changé, les hommes et les femmes ne sont plus les mêmes, et les élections approchent. Tout cela est navrant. »

Le président rappelle aussi que « Rouen et la Métropole n’ont jamais autant soutenu la Culture, les artistes locaux, qu’aujourd’hui. Il suffit de vérifier les budgets. Pour ma part, face à l’intolérance, la haine, mais aussi face aux petites postures politiciennes, je continuerai de défendre la Culture pour tous, par tous, partout. Pas dans les mots : dans les actes. »

Thomas Jolly tacle les politiques… et la presse

Thomas Jolly et Thierry Reboul, les deux porteurs de projet, ont également communiqué, avec beaucoup d’amertume, sur le sujet. « La part d’argent privé nécessaire à la tenue du projet 14 n’est pas atteinte. Par conséquent, la part d’argent public envisagée pour ce projet n’est pas sollicitée », présentent les deux artistes à l’origine des cérémonies des JO 2024.

Il en profite pour tacler les responsables politiques opposés au projet… Mais aussi la presse. « Ce qui est moins banal – et regrettable – c’est de constater qu’une partie de la presse, ainsi que certains élus politiques, ont choisi de divulguer et de commenter ce projet avant même que sa faisabilité ne soit assurée. Ces remous, commentaires et attaques, qui n’ont d’ailleurs eu aucune incidence sur l’issue du projet, relèvent davantage d’une réaction précipitée que d’une critique fondée. »

Les artistes, tout comme les médias et les élus détiennent des pouvoirs certains. Cette controverse hâtive, mais révélatrice, aura au moins permis d’apprécier comment chacun de ces participants en a usé

Thomas Jolly et Thierry Reboul

« Faute de travail sérieux, de pédagogie et de réponses aux questions légitimes qui auraient toutes été apportées en temps voulu au profit de titres sensationnalistes, certains médias et élus ont œuvré au discrédit du financement public de la Culture, à la dissension et défiance populaire plutôt qu’à son unité, et ont ravivé, à mon égard, un discours de haine, bien loin de toute considération budgétaire. »

« Pourtant, l’investissement public dans la culture ne saurait être un tabou. Ce projet aurait permis de mobiliser plusieurs centaines de professionnels du spectacle vivant locaux, (artistes de toutes les disciplines, associations culturelles, équipes techniques, événementielles, audiovisuelles) et de faire rayonner les talents et le patrimoine normands à travers une diffusion télévisée potentielle de 10 millions de spectateurs en France, ainsi qu’une diffusion à l’étranger. Le tout au moyen d’un événement populaire, gratuit et fédérateur, pour une jauge de spectateurs équivalente au Stade de France. »

Les regrets sur un projet qui aurait pu avoir des « retombées économiques »

Le communiqué de Thomas Jolly continue, en répondant sur l’aspect économique : « La culture n’est pas un gadget, c’est un levier économique, social et territorial puissant. Elle crée de la valeur, soutient l’emploi, dynamise les territoires, attire les visiteurs, renforce la cohésion et l’attractivité. Chaque euro investi dans la culture produit des retombées économiques, significatives, concrètes et durables pour tous, tout en renforçant les liens entre les citoyens. »

L’artiste rouennais poursuit : « Les inutiles commentaires et déferlement haineux soulevés ces derniers jours ne font que corroborer la nécessité d’un tel projet : lutter contre les architectes du chaos et, comme nous l’avons déjà fait, raviver la puissance et la beauté de nos humanités partagées autour des valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité. »

Lire aussi dans Paris-Normandie:

 

Commentaire de Florestan:

 

La démocratie c'est l'art difficile de vivre avec ceux qui ont le malheur de ne pas penser la même chose qu'un bien-pensant militant intolérant...

La mauvaise foi bien pensante diffuse des communiqués de presse... Personne ne sera dupe!

 

 

 

 

Heureusement à Rouen il n' y a pas que Thomas Jolly et ses coûteux délires: il y a l'évidence du patrimoine normand:

 

 

La Cité immersive des Vikings et la cathédrale Notre-Dame de l'Assomption de Rouen, église métropolitaine de Normandie magnifiée par le spectacle "Luminiscence"...

 

L'un de nos correspondants était récemment à Rouen et a visité ces deux hauts-lieux du patrimoine normand rouennais:

 

Voici son constat:

 
En ce qui concerne la cité immersive, ce n'est pas un musée mais plutôt une présentation de récit qui s'appuie sur un certain nombre d'éléments visuels et sonores. Les principaux points que j'ai relevés :
 
 
Récit normand : Ce qui est présenté ne se limite pas aux vikings, mais présente l'histoire de Rollon en tant que fondateur de la Normandie en se poursuivant avec un étalement du récit jusqu'à Guillaume le Conquérant ;
 
 
Scénettes : Des scénettes filmées avec des acteurs ont été réalisées (certains acteurs meilleurs que d'autres). Chaque personnage alimente le récit en donnant des points de vue du quotidien, militaires, religieux, etc. Ce qui est intéressant en termes d'immersion et de contexte ;
 
 
Sons et lumières : Les effets sonores, visuels, et les ambiances créées sont plutôt bien réalisées ;
 
 
Objets : Aucun objet authentique n'est présenté, que des reproductions : ce n'est pas un musée ;
 
 
Folklore : Le folklore caricatural est présent mais sert la vulgarisation au grand public plus qu'il ne dessert le récit ;
 
 
Appui sur Nota Bene : "Nota Bene" est un Youtubeur (comprendre vidéaste sur YouTube). Il est connu pour la vulgarisation de contenus historiques sur YouTube. Cet appui est assez important à un certain moment de la visite (écrans muraux disposés à divers endroits), alors que ces mêmes contenus sont disponibles gratuitement chez soi ;
 
 
Prix : Le prix est un peu élevé (entre 13 et 15 euros pour adultes) ;
 
 
- Affluence : J'ai effectué la visite à une heure de grande affluence et c'était assez pénible car il y avait trop de monde (difficulté pour circuler et accéder à certains contenus) ;
 
 
- Film final : En fin de visite, une sorte de film à 270° est proposé, présentant plus en détail l'histoire de Rollon et de la Normandie. J'ai trouvé cela bien réalisé et intéressant ;
 
 
- Boutique : La boutique est très intéressante car, même si elle propose un certain nombre de produits folkloriques sans être historiques (ex : casques à cornes pour les enfants qui veulent s'essayer comme apprentis vikings), certains produits "normandisants" sont vendus, comme des livres d'apprentissage ou de traduction de la langue normande (probablement le seul endroit de Rouen où l'on peut trouver de telles choses sans compter les librairies spécialisées !) ;
 
 
- Vulgarisation : L'expérience globale est un formidable exercice de vulgarisation et donc de diffusion à un public large, mais cela peut-être ennuyeux pour un visiteur déjà averti.
 
 
En conclusion : Excellent outil de propagande et d'acclimatation à "l'environnement normand" (sur le volet historique) dans un lieu qui en manque cruellement (Rouen), quelques éléments folkloriques caricaturaux regrettables mais largement contrebalancés par le message global qui renforce (ou éveille) le sentiment d'appartenance à la Normandie en faisant sortir de l'ombre Rollon qui ne bénéficie hélas pas de la même notoriété que notre cher Guillaume. Cela est d'autant plus intéressant qu'il y a un véritable engouement dans l'agglomération rouennaise, ce qui prouve que nous sommes sur le bon chemin : il y a une demande et un intérêt d'identité normande.
 
 
En ce qui concerne le spectacle son et lumières "Luminiscence" à la cathédrale de Rouen, voici les principaux points que j'ai relevés :
 
 
- Lumières : Le spectacle visuel est magnifique.
 
 
- Son : L'orchestre et les chants sont excellents et reprennent des morceaux célèbres de la musique classique (ex : Vivaldi, Mozart). La participation de la maîtrise Saint-Evode n'y est pas étrangère (une des plus anciennes chorales religieuses de France). Les organistes rouennais sont sollicités pour jouer du somptueux orgue de la cathédrale. Pour être tout à fait honnête, j'attendais depuis de nombreuses années d'entendre la célèbre Toccata et fugue en Ré mineur de Bach sur les orgues de la cathédrale ou de l'abbatiale Saint-Ouen. C'était magique.
 
 
- Récit : Pour revenir à un point moins subjectif et plus régionaliste, le récit présenté retrace toute l'histoire de la cathédrale (dès l'époque romane) à nos jours. Bien entendu, l'histoire de la Normandie est évoquée à de multiples reprises et cela sert à la diffusion/l'éveil de l'identité normande.
 
 
- Prix : Le prix est un peu élevé (entre 36 et 55 euros pour un adulte suivant sa catégorie et le plein/demi tarif).
 
 
En conclusion : Le spectacle sert moins la cause normande que la cité immersive mais participe tout de même à la diffusion de l'identité normande ainsi que la connaissance de l'histoire de Rouen et de la région. En dehors de cela, le spectacle en lui-même vaut le détour, je vais moi-même y assister une seconde fois dans les prochains jours.
 
 
Salutations normandes.

Commentaire de Florestan:

 

L'évidence de la Beauté de notre patrimoine est une grâce qui ne coûte rien et qui a une force de conviction bien plus grande que tous les spectacles pénibles de ludions militants subventionnés par l'argent des cons tribuables...

Patrimoine de la Normandie médiévale:

 

 

Patrimoine normand, encore et toujours:

 

 

Le patrimoine normand c'est aussi des idées normandes pionnières...

 

Ouest-France, 18 mai 2025

 

A Saint-Etienne-du-Rouvray, une fête "Nimby" a réuni quelque deux cents personnes autour d'une "presque victoire"...

 

Commentaire de Florestan:

 

Quand on voit des réjouissances "Nimby" (pour: "Not In My Back Yard"/ Pas au fond de mon jardin) on se posera toujours la même question:

 

Pourquoi sont-ils d'accord avec ce ce qu'ils refusent dès lors que ce qu'ils refusent a le bon goût d'être situé quelques dizaines de kilomètres plus loin?

 

Si ces gens sont à ce point opposés au passage d'une route à 2x2 voies ils devraient pousser leur cohérence militante à ne plus jamais emprunter la moindre route ou autoroute!

 

Soyons toujours charitables avec ceux qui manquent de charité... On ne sait jamais!

On attend que la météo bureaucratique bruxelloise devienne enfin plus clémente...

 

 

Sur le dossier des hydroliennes dans le Raz-Blanchard, on attend aussi que la météo bureaucratique parisienne et bruxelloise soit enfin plus clémente...

 

La Presse de la Manche, 17 mai 2025:

 

Attractivité industrielle: le Cotentin avec son électricité nucléaire abondante et décarbonée et un climat adapté, pourrait accueillir un "datacenter" géant... si la météo bureaucratique parisienne et bruxelloise se montre enfin plus clémente.

 

 

Petite revue de presse locale... 

 

Port en Bessin ! La série noire continue pour le premier port de pêche calvadosienNous attendons avec impatience le retour de Georges Simenon et son commissaire Maigret pour l'enquête :
 
 
 
 
 
 
N'y avait-il pas une plaque encore plus minable en stock pour célébrer la mémoire d'un martyr de la barbarie contemporaine ?
 
 
 
 
Ne pouvait-on pas le faire avant... comme cela se faisait déjà... avant, avec l'ancien tram (en réalité un trolley guidé) ? Elles nous coûtent bien cher ces têtes "pensantes" qui ne pensent pas beaucoup !
 
 
 

La Normandie mal classée en terme d'attractivité pour "bien vieillir" dans un classement national publié dans la presse. Pourquoi? 

 

Parce que la Normandie présente une fracture territoriale nette entre les grandes villes et les petites villes et villages des arrières pays ruraux où règnent les déserts médicaux et autres déserts des services notamment culturels, sans même parler de la question de l'enclavement et des transports.

 

Société. Pourquoi un classement national considère-t-il que la Normandie n'est pas une région pour "bien vieillir" ?

 

Société. Pourquoi un classement national considère-t-il que la Normandie n'est pas une région pour "bien vieillir" ?

 

Société. Santé, météo, ambiance, services… Un classement national a passé au crible les villes françaises où il fait bon vivre après 60 ans. Et malheureusement, la Normandie n'est pas franchement dans le haut du tableau. La première ville normande ? 87e (et on vous défie de deviner de laquelle il s'agit). Alors, qu'est-ce qui cloche ? On fait le point.

 

 

Le journal Le Parisien a passé au crible plus de 2 000 villes françaises pour déterminer les meilleures destinations où passer une retraite paisible et dynamique. Et surprise : la Normandie, pourtant prisée pour sa qualité de vie et son littoral, brille surtout… par son absence dans le haut du classement. Mais alors, qu'est-ce qui coince ?

 

Climat et météo : quand le ciel joue contre la Normandie

 

Premier point qui pèse lourd : le climat. Le palmarès établi par Le Parisien met clairement en avant les villes baignées de soleil, avec une nette domination du Sud et de la façade méditerranéenne. Menton, Hyères, Argelès-sur-Mer… Autant de noms qui font rêver les retraités en quête de douceur.

 

La Normandie, elle, souffre de sa réputation de "région grise", malgré ses étés tempérés et ses belles éclaircies. Si certains y voient un charme authentique, les critères météo, en particulier le nombre de jours d'ensoleillement, ont joué en défaveur de la région. Et à la retraite, on préfère les lunettes de soleil au parapluie.

 

Santé et désert médical : le talon d'Achille normand

 

Autre critère crucial du classement : l'accès aux soins. Sur ce point, la Normandie n'échappe pas à une réalité nationale : la désertification médicale, particulièrement marquée dans les zones rurales. Les généralistes se raréfient, les spécialistes sont parfois à plus de 30 kilomètres… Et pour beaucoup de seniors, ça pèse lourd dans la balance.

 

Le Parisien insiste d'ailleurs sur ce point : les villes les mieux notées sont celles où les services médicaux sont accessibles, nombreux et diversifiés. A l'inverse, certaines communes normandes, pourtant paisibles et attractives, souffrent d'un manque d'infrastructures de santé — un facteur rédhibitoire pour une retraite sereine.

 

Mobilité, commerces et culture : une offre encore inégale

 

Côté équipements, la Normandie a des atouts, mais aussi des manques. Si des villes comme Caen ou Rouen disposent d'une offre culturelle et commerciale riche, ce n'est pas forcément le cas dans les petites communes, où les cinémas, bibliothèques et transports en commun sont moins présents ou peu accessibles.

 

Le Parisien rappelle que "bien vieillir", c'est aussi rester actif : pouvoir aller au théâtre, prendre le bus sans souci, trouver une pharmacie à moins de 10 minutes. Et sur ces aspects, la région ne tient pas toujours la comparaison face à des destinations touristiques du Sud qui misent tout sur la qualité de vie… et l'animation à l'année.

 

Immobilier et coût de la vie : un faux avantage ?

On pourrait penser que le prix de l'immobilier, plus abordable qu'à Hyères ou Biarritz, serait un atout pour la Normandie. C'est vrai… mais ce n'est pas suffisant. Le Parisien a pris en compte une trentaine de critères, et le pouvoir d'achat ne fait pas tout : ce qui séduit, c'est l'équilibre entre coût de la vie, cadre de vie et services.

 

Une qualité de vie qui ne suffit plus

Ainsi, des villes normandes comme Carentan-les-Marais (la fameuse 87e place) ou Abbeville (aux portes de la région) figurent dans les bas-fonds du classement malgré leur attractivité immobilière. En cause : une offre culturelle limitée, peu de transports en commun et un accès difficile aux soins.

 

Le vieillissement n'est plus synonyme de repli. Aujourd'hui, les jeunes retraités veulent "vivre leur meilleure vie", même après 65 ans. Et à ce petit jeu, la Normandie ne coche pas encore toutes les cases.

 

Confirmation à la lecture de Ouest-France (19 mai 2025):

 

 

Mais des innovations médicales normandes:

 

Ouest-France 19 mai 2025

 

 

La vraie écologie? Lutter pour préserver la diversité culturelle et linguistique dans le monde: la langue normande est menacée... Qu'en pense la gauche Mélenchon?

 

 

 

L'oeil de Barreau:

 

Le dynamisme normand en action au conseil régional...
 
 
Cafés normands : sur le site de la région, dernière mis à jour effectuée le 17 septembre 2024.
 
 
Et les dates pour 2025 ? 
 
 
N'est-ce pas la région qui est partenaire de ces cafés ? voilà la page en question :
 
 

 

Le Havre, une enclave bretonne en Normandie comme la papauté en Avignon?

 

Les Bretons du Havre toujours prompts à faire leur festival...

 

 

 

LA REPONSE NORMANDE:

 

A l'occasion de la fête des ROUAISONS...

 

 

 

"Les Normands mettent le cap sur le Cotentin"
 
13-15 juin 2025 - Bricquebec / Bricbé, cour du château
Organisé par les associations Cap sur les Talents et la FALE (Fédération des associations pour la langue normande), avec le soutien de la Région Normandie
 

Gratuit et Ouvert à tous

 
• Vendredi 13 juin 20 h 30 : Contes et légendes de Normandie et des îles de la Manche, conteurs du Pays de Caux, du Bocage ornais, de la Hague et de Jersey
 
• Samedi 14 juin 10 h : Accueil, Histoires, poèmes et chansons (en jerriais, guernesiais, cauchois...)
14 h : Chants et danses avec le P’tit Capé de Brix
15 h : Les Scintillantes du Cotentin, majorettes
Remise des prix des concours de nouvelles, poésie et néologismes et table ronde "La musique comme moyen de transmission des langues régionales"
16 h : concert du groupe Abisko (folk)
18 h : Concert du groupe Lihou 
(musique et chants de Normandie et des Îles de la Manche)
le soir, repas normand et veillée
 
• dimanche 15 juin 10 h : randonnée chantée
animée par la Loure
 (autour de Bricquebec)
12 h : sur la scène (chants, récitations, danses)
14 h : concert Les Jupons de Mémé
16 h 30 : David Marks, spectacle de magie
 
• Tout le week-end :
 
Expositions sur les auteurs normands (Association Magène)
Librairies proposant des livres en normand
(cauchois, cotentinais, jersiais et guernesiais...)
et en français (Auteurs en Cotentin), revues Le Pucheux et La Voix du Donjon, Le Boués-Jaun...
Atelier dentelle, jeux de vocabulaire Association A. Rossel

Jeux normands, association Tec-Nor

Possibilité de monter au sommet du donjon
Bar à cidre et marché d'artisans
Restauration sur place
 
A touos les syins des Isles et de la Graund'Terre de Normaundie,
 
Vos êtes invitaés à la perchoine assembllaée normaunde des Rouaisons qui se tyinra à Bricbé dé depis lé vendrédi 13 dé juin jusqu'oû dinmaunche lé 15 dé juin.
Touot le programme de la faête est attachi à çu courryi.

Pour que nos pisse genci le livret d'aveu les diries et les caunchouns, merci ès syins qui vouoraient dire des pouèmes ou d's histouères pendant la fête de nos envier vos textes mais que vos le pouvaez.

Dauns l'espéraunche que no-z-éra le pllaisi de vos y veî
 
A byintôt !

 

L'oeil de Barreau:

 

Sur wikimanche, on lira ceci:

 

 

La Fête des Rouaisons est une fête normande itinérante qui, depuis 1998, permet de rassembler chaque année toutes les communautés d'expression normande des Îles Anglo-Normandes à la Seine-Maritime.

 

L'actuelle fête des Rouaisons est due à l'initiative du journaliste Jean Margueritte et de l'association Montebourg-Guernesey. Elle se déroule tous les ans dans un lieu différent, aux environs de l'Ascension, et a pour but de promouvoir la langue et la culture normande.

 

Destinée à l'origine à rapprocher les cousins normands des îles anglo-normandes et du Cotentin, elle s'est progressivement ouverte à toute la Normandie.

 

La Fête des Rouaisons offre des animations de musique, de danses, de chants et de lectures en langue normande, mais aussi des expositions, des ventes de livres, d'artisanat et de produits régionaux.

 

 

Les fêtes successives sont limitées au périmètre de la Manche aux îles anglo-normandes, hormis deux escapades en Seine-Maritime et Calvados.


Puisque la région est partenaire de l'édition 2025, pourquoi ne pas étendre cette fête tournante à TOUTE la région ? 

 

Bien entendu, en allant chercher des entreprises "partenaires" sensibles à l'identité normande, qui la revendiquent et la font vivre à travers leur activité car je note, qu'à part le Crédit Agricole, il n'y a aucun partenaire privé à cette fête 2025. Une constante dans cette région.

 

La "citoyenneté" normande des entreprises pose une nouvelle fois question.

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Commentaires
B
Attention : spectacle éphémère, Luminescence à Rouen se termine le 29 mai !
Répondre
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