La concertation sur l'extension du tramway à Caen a donné lieu à un bilan, publié fin 2022. D'après lui, Caen la mer n'a pas encore levé les doutes sur le financement du projet.
Tout d’abord, je tiens à vous exprimer tous mes meilleurs vœux pour 2023.
Toujours engagés au service du territoire et de sa promotion, l’agence et son équipe sont une nouvelle fois mobilisés pour faire rayonner la Normandie avec une nouvelle feuille de route.
Nombreux recrutements à venir, renouveau de l’industrie, enjeu de la transition énergétique, grands projets, entreprises performantes, start-up innovantes… Forte d’une économie tournée vers la décarbonation, la Normandie est un territoire dynamique qui mérite de rayonner et cela se sait peu ! L’équipe sera donc à pied d’œuvre pour illustrer cette énergie, sur l’ensemble de ses filières. Visites, rencontres, reportages… en tant que premiers prescripteurs, vous serez naturellement conviés en premier lieu à les découvrir et les partager !
Alors que les chiffres de la dernière étude de l’INSEE semblent décourageants – attirer les jeunes talents et convaincre les jeunes Normands de rester ou revenir sur le territoire, post-covid, devient plus que jamais l’élément essentiel de notre stratégie pour contrebalancer la tendance démographique. Nous comptons sur nos ambassadeurs et nos partenaires pour relever avec nous ce défi.
Autre axe, et pas des moindres : révéler tout le potentiel d’attraction des nombreuses formations dispensées sur le territoire. Les universités et les écoles d’enseignement supérieur normandes, sont, pour beaucoup d’entre elles reconnues pour leur qualité. Il est temps de le faire savoir au plus grand nombre !
Enfin, si le Brexit a bouleversé un peu les cartes européennes, qu’ils soient économiques, scientifiques, éducatifs et culturels, les liens d’hier ou d’aujourd’hui, entre la Normandie, l’Angleterre et l’Irlande – sont indéniables. Une thématique qui sera certainement le fil rouge de notre grande réunion annuelle et que nous avons hâte de vous partager !
Vianney de Chalus, président de Normandie Attractivité.
Résilience de la Normandie industrielle: une bonne nouvelle du côté de Pont-Audemer:
Face au déclin des cartes SIM, l’usine Thales de Pont-Audemer mise sur l’aviation
L’usine Thales de Pont-Audemer dans l’Eure va bénéficier d’un investissement de 30 millions d’euros pour produire des cartes électroniques à haute valeur ajoutée pour l’aviation civile et militaire. Cette activité remplacera progressivement celle des cartes SIM amovibles pour les mobiles.
Le site Thales à Pont-Audemer (Eure) assemblera en 2025 des cartes électroniques intégrées à destination des dispositifs électroniques embarqués des avions.
L’usine Thales de Pont-Audemer, dans l’Eure, va changer d’univers. Thales investit 30 millions d’euros dans cette usine de 300 salariés – un ancien site Gemalto - pour fabriquer, à partir de 2025, des cartes électroniques à haute valeur ajoutée pour l’aviation civile et militaire. Ces cartes de circuits imprimés qui se trouvent dans les dispositifs électroniques embarqués des avions sont notamment utilisées pour la gestion du vol, les pilotes automatiques, les radars, ainsi que la gestion du carburant et des alarmes.
A France 2 qui va ouvrir son antenne à Jean-Luc Mélenchon toute la soirée en direct de la Guyane, préférons un nouveau débarquement des Vikings sur France 5...
Originale

En 2027, on fêtera le millénaire de la naissance de Guillaume le Conquérant: Edouard Philippe, le maire du Havre est-il au courant?
https://www.lepoint.fr/politique/edouard-philippe-j-apprends-je-me-prepare-12-01-2023-2504532_20.php
Édouard Philippe : « J’apprends, je me prépare… »
EXCLUSIF. Que veut vraiment l’ancien Premier ministre ? Le maire du Havre et président d’Horizons rompt le silence pour « Le Point ».Édouard Philippe ouvre grand la porte de son bureau puis écarte les bras. Il nous accueille d'un « hellooo » sonore. Presque suspect tant il est enthousiaste ! C'est que le maire du Havre aime jouer à domicile...
Le Shtandart, la réplique de la frégate de Pierre Le Grand, un vieux gréément battant pavillon russe et qui a fait réparer récemment son grand mât dans le port de Caen doit être présent à l'Armada de Rouen: il ne faut pas confondre la Russie, les Russes et un certain Vladimir Poutine...
https://actu.fr/normandie/rouen_76540/armada-2023-polemique-sur-la-venue-d-un-navire-russe-mon-bateau-est-un-refugie-politique_56218413.html

Armada 2023. Polémique sur la venue d'un navire russe : « Mon bateau est un réfugié politique »
La venue du Shtandart à Rouen pour l'Armada 2023 fait des vagues. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, la frégate russe n'est plus la bienvenue pour tout le monde...
« Nous lui demanderons de hisser le pavillon ukrainien. » L’organisation de la prochaine Armada, qui se déroulera à Rouen (Seine-Maritime) du 8 au 18 juin 2023, maintient l’invitation du bateau russe Shtandart, à condition qu’il arbore le drapeau de l’Ukraine.
Et ce, malgré un vent de contestation qui souffle contre la frégate russe depuis le début de la guerre en Ukraine. Pour la dernière Armada en 2019, quatre navires russes avaient fait escale à Rouen : le Kruzenstern, le Mir et le Sedov, dorénavant navis non grata… Et le Shtandart.
Interdiction des navires russes
Mais si Rouen accueille de nouveau le Shtandart, s’expose-t-on à des sanctions ? Il a été déjà interdit dans plusieurs villes, à Sète, Bordeaux ou Lorient. Alors pourquoi pas Rouen ? L’exacte réplique du navire amiral du tsar Pierre Le Grand, 34,5 mètres de coque peinte de jaune et de noir, a été privée d’escale dans de nombreuses villes du Vieux Continent depuis avril 2022, lorsque le Conseil de l’Union européenne a interdit à tout navire immatriculé sous pavillon russe d’entrer dans les ports de l’UE.
Seules des dérogations pour les produits agricoles et alimentaires, l’aide humanitaire et l’énergie sont accordées dans ce 5e paquet de sanctions contre l’envahisseur. Et quand il est accueilli, c’est souvent à contre-courant, comme à La Rochelle où après des semaines d’errance, le bateau a été laissé en rade. Des réfugiés ukrainiens y ont manifesté contre sa présence dans le Vieux-Port en juin et le mois dernier.
« Les autorités françaises ont estimé qu’il y avait une exception. Le navire est autorisé à venir par la préfecture maritime. Pour l’instant, il n’y a pas de contrordre et on ne se préoccupe pas des polémiques, se rassure Philippe Chastres, le vice-président de l’Armada 2023. Dès le début de la guerre, et avant toute décision européenne, on avait décidé de ne pas inviter les bateaux russes. Mais le Shtandart est un navire du patrimoine maritime, pas de guerre ou marchand. »
Et de poursuivre : « Il a une belle histoire, un peu comme l’Hermione, construit à la force des bras [jusqu’aux clous qui ont été forgés à la main, NDLR]. Et puis le capitaine Vladimir Martus a fait sécession. Les Russes ne rigolent pas avec ça. D’ailleurs, à chaque Armada, l’état russe cherchait à faire saisir le Kruzenstern via un cabinet d’avocat suisse. »
Des manifestations à Rouen ?
Et en cas de manifestation sur les quais de Rouen qui viendraient ternir la fête ? La venue du bateau pourrait en effet se révéler être un sac de nœuds pour l’organisation, qui veille au grain : « On avait eu le même problème avec l’Esmeralda chilien qui avait servi de prison sous Pinochet. Il y a toujours eu des manifestations à l’Armada, notamment d’intermittents du spectacle. L’Armada, ce sont 7 000 marins de 14 nationalités différentes. On est un exemple de tolérance et de fraternité. C’est ce que j’expliquerai aux Ukrainiens qui viendraient éventuellement s’opposer à sa présence. »
« S’il y a un bateau russe à l’Armada, les Ukrainiens seront circonspects. Et s’il y a le moindre soupçon de collusion avec le gouvernement de Poutine, ils ne manqueront pas de réagir et de s’y opposer », prévient Nicolas Plantrou.
Le président de l’association Solidarité Ukraine Normandie, qui fédère les 1 600 Ukrainiens présents actuellement en Seine-Maritime, assure que « si à l’inverse les membres d’équipage sont clairement des opposants à Poutine, il faut que le bateau arbore non pas le drapeau russe [établi par décret en 1993, il a servi six ans de présidence Eltsine et 22 ans de Poutine, NDLR], mais le drapeau revisité, blanc avec une bande centrale bleue, symbole russe des manifestations anti-guerre dans le pays, qui lui est clairement une opposition à Poutine. »
Un problème de couleurs pas si anodin : le mot « shtandart » (en russe Штандарт) signifie en effet drapeau, étendard.
Un agent russe ?
Pour Bernard Grua, le porte-parole du collectif #NoShtandartInEurope, qui regroupe selon lui « les principales organisations ukrainiennes en France », le capitaine du Shtandart mène les opinions européennes en bateau : Vladimir Martus serait un as de la récupération, tenant un double discours en entretenant des liens avec la Russie de Poutine et en utilisant ses mésaventures pour se faire passer pour un opposant et conserver ses affaires en Europe de l’Ouest.
Bernard Grua est vent debout contre lui et son bateau, dénonçant une mystification : « Son soi-disant anti-poutinisme est une fable sans réelle signification. Il instrumentalise l’aide humanitaire aux populations ukrainiennes victimes de la guerre russe. Mon opinion est que le Shtandart est protégé par le pouvoir russe et l’administration présidentielle et que Vladimir Martus, qui est un peu un gourou dans ce milieu, est a minima un agent du soft power russe… Peut-être même un agent du FSB [les services secrets russes, NDLR]. »
Le militant s’appuie notamment sur le fait que pendant les années de construction du Shtandart (1994-1999), Martus a été aidé par le conseil municipal de Saint-Pétersbourg dont l’un des plus proches collaborateurs du maire était un certain Vladimir Poutine.
Le Nantais se défend de « vouloir importer le conflit entre Russes et Ukrainiens en France » et d’être « un anti-russe primaire. J’étais même russophile jusqu’à la guerre. Mais le Shtandart est illégal dans les eaux européennes. En Espagne, il a été interdit. Il n’y a plus que quelques ports français qui violent les sanctions européennes et s’exposent à des risques pénaux. Cette pratique du fait accompli ne peut pas faire jurisprudence ».
Le 28 novembre dernier, le Conseil de l’UE a adopté à l’unanimité une décision visant à ajouter la violation des sanctions à la liste des domaines de criminalité figurant dans le Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Avec cet article 83, le contournement des sanctions vient rejoindre le terrorisme, la traite des êtres humains, le trafic de drogues et d’armes et autres criminalités…
Le capitaine russe se défend
Accusé de toutes parts, Vladimir Martus, le capitaine a accepté de répondre aux questions de 76actu. Celui qui se dit « persécuté par le Kremlin » souligne qu’il a quitté la Russie avec le Shtandart en 2009 car « un groupe de personnes très influentes en Russie (et parmi elles, les meilleurs amis de Poutine) a rendu impossible l’exploitation de mon navire là-bas. À mon avis, il y a eu une tentative de saisie du Shtandart. Je ne mentionnerai aucun nom ici par écrit, mais je peux vous expliquer qui s’opposait à moi et au Shtandart en Russie. Ces personnes sont toujours au pouvoir, et mes parents et collègues (qui restent en Russie) ne seront pas en sécurité si j’entre en conflit direct avec ces officiels (même si je m’oppose à eux juste dans vos médias) ».
Le capitaine rappelle également qu’en mars 2022, la Douma russe (le Sénat) a introduit de nouvelles lois qui interdisent strictement de commenter l' »opération » en Ukraine. Si quelqu’un exprime une opinion différente des « nouvelles » officielles annoncées, il risque jusqu’à 15 ans d’emprisonnement.
« Les procès sont connus, et les gens sont jetés en prison juste pour un post sur Facebook. Je suis toujours un citoyen de la Fédération de Russie et je ne peux pas aller à l’encontre d’une loi russe (même si je suis en sécurité ici en France, comme mes collègues qui travaillent pour notre association à Saint-Pétersbourg), explique Vladimir Martus. Sans enfreindre les lois de mon pays, je peux simplement dire que je ne suis pas satisfait des décisions prises par le président actuel de la Russie, et je demande la destitution de M. Poutine. C’est le seul moyen légal de s’opposer à la situation actuelle. »
Vladimir Martus assure que depuis 2009, le « Shtandart est devenu un paria dans son propre pays, ‘un réfugié politique’ ».
Il est faux de dire que le Shtandart a été commandé par le gouvernement russe. Le navire a eu un contrat commercial avec une branche locale de la Société géographique de Russie [dont le président est Sergueï Choïgou depuis 2009, également ministre de la Défense du pays depuis 2012, NDLR]. Pour eux, il s'agissait de remplacer la location initialement prévue d'un bateau turc de taille similaire. Il n'y avait pas de contexte politique, ni de contact avec les "hauts fonctionnaires".
Vladimir Martus Capitaine du Shtandart
Pourquoi ne pas hisser le drapeau des opposants russes ?
Mais alors pourquoi, en plus du drapeau ukrainien, ne pas hisser le drapeau blanc avec une bande centrale bleue des vrais opposants russes à la guerre et à Poutine ? Vladimir Martus a réponse à tout : « Le déploiement du drapeau national en mer est obligatoire et ne peut être choisi par le capitaine du navire. »
Cependant, l’équipage a été approché par des manifestants disant que le drapeau ukrainien ne peut pas être au même endroit que le drapeau russe. « Nous ne sommes pas d’accord avec le fait que le drapeau de la Fédération de Russie symbolise le régime de Poutine (à l’époque de la Seconde Guerre mondiale, Charles de Gaulle n’a pas refusé d’utiliser le drapeau français, malgré l’occupation), déclare le capitaine du Shtandart. Mais nous ne voulons pas insulter le peuple ukrainien, donc finalement nous décidons de ne hisser AUCUN drapeau sur le navire pendant qu’il est au port. »
Et d’insister : « Le retrait du drapeau russe au port est déjà une étape importante, selon nous. Le drapeau blanc avec une bande centrale bleue n’est pas reconnu comme un drapeau maritime, et il n’y a pas d’opinion unique sur ce qui en est le symbole. »
Concernant la légalité ou non de la présence du navire à l’Armada de Rouen, la préfecture maritime n’a pas répondu à nos sollicitations.
L'université de Caen fondée en 1432 à l'initiative des forces d'occupation anglaises du roi Henry VI pour former les élites normandes d'une Normandie intégrée au royaume d'Angleterre (alors que cela fut le contraire en 1066...) veut développer des formations en anglais pour attirer les étudiants étrangers.
La priorité ne serait-elle pas d'améliorer la prise en charge des étudiants français et normands de première année qui ne savent pas correctement écrire? Si ces formations en anglais peuvent être, cependant, légitimes à Caen au vu de l'histoire de l'Alma mater normande, ne pourrait-on pas les assortir du rappel historique des origines normandes de la langue anglaise moderne?
https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/etrangers-formations-en-anglais-l-universite-de-caen-soigne-son-attractivite-a-l-international-837c77d4-8bb1-11ed-88f4-089e4f8ff0bd
LE BOMBARDEMENT DE CAEN SE POURSUIT...
Le maire de Caen autorise la démolition de l'immeuble art déco de l'ancienne brasserie du Chandivert (1935) qui aurait pu accueillir la "halle gourmande" au profit d'un immeuble n'ayant aucune qualité architecturale particulière sauf celle de dégager la vue sur l'hôtel de Than du XVIe siècle au risque de suggérer un impitoyable et consternant face à face entre le BEAU et le LAID... Triste époque que la nôtre qui a perdu le savoir ancestral de bâtir.
Craignons le nom qui sera donné à ce bâtiment puisque les bétonneurs et les élus de la municipalité méprisent l'histoire et le patrimoine de cette ville! Le joli nom de "CHANDIVERT" peut-il survivre ne serait-ce qu'en devenant le nom de cette nouvelle commode de verre et de béton dont les tiroirs sont tirés pour en faire des jardinières luttant contre le changement climatique?

La Seine-maritime, le département français le plus "à risques"?
https://www.paris-normandie.fr/id377185/article/2023-01-10/stephane-gouezec-directeur-du-sdis-76-la-seine-maritime-sera-demain-le?utm_source=mailing&mgo_eu=b00E80C&mgo_l=4be49246-0a17-4fa9-b97c-bd45c0189838.7.2&utm_campaign=mediego-matin&utm_medium=email
« La Seine-Maritime sera demain le territoire le plus à risques du pays » selon le directeur du SDIS 76
Directeur du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de la Seine-Maritime depuis un peu plus d’un an, le colonel hors-classe Stéphane Gouezec a rappelé, lundi 9 janvier 2023 à Yvetot, les enjeux de la sécurité civile en Seine-Maritime.
Il y a eu beaucoup de médailles, de fourragères et de cadeaux distribués, lundi 9 janvier 2023, au siège du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de la Seine-Maritime à Yvetot, mais il y a eu aussi les messages essentiels distillés par Stéphane Gouezec.
Colonel hors-classe et directeur du SDIS 76 depuis la fin de l’année 2021, Stéphane Gouezec a rappelé, devant son prédécesseur Jean-Yves Lagalle qui part à la retraite, les grandes lignes de sa mission et les enjeux qui attendent les quelque 4000 collaborateurs du SDIS 76 dans les années à venir.
« La Seine-Maritime sera le territoire le plus à risques du pays demain », a souligné le colonel Stéphane Gouezec. « Il faudra que le SDIS 76 soit à la hauteur de ces risques ».
Le nouveau directeur du SDIS 76 n’est pas entré dans les détails. Mais chacun sait que la Seine-Maritime, département situé au coeur de l’axe Seine, entre Paris et Le Havre, reste un département fortement industrialisé. Chacun sait aussi que le réchauffement climatique qui provoquera de façon inexorable la montée des eaux et des épisodes de sécheresse éprouvera de façon certaine le corps des sapeurs-pompiers.
Stéphane Gouezec s’est donc félicité que le Schéma départemental d’analyse et de couverture du risque (SDACR) pour la période 2023-2028 a été adopté à l’unanimité lors du 1er conseil d’administration de l’année 2023.
Pas de suppression de centre de secours programmés
« Il est axé sur trois axes majeurs : renforcer l’effort pour conseiller et informer, poursuivre les actions afin de prévoir et d’anticiper et se fixer des objectifs de qualité pour secourir et soigner », a résumé le colonel Gouezec. Le directeur du SDIS a profité de cette cérémonie des voeux 2023 pour éteindre sans plus tarder des petites rumeurs qui commençaient à circuler dans le département : « Nous n’avons pas de projets de suppression de centres de secours, le maillage du territoire est essentiel. Et non, le temps moyen d’intervention des pompiers sur un sinistre ne se dégradera pas ».
Pédagogue, le colonel Gouezec a indiqué « qu’à partir de deux à trois engagements par jour le volontariat montre ses limites car il est nécessaire de respecter la vie professionnelle et familiale des pompiers volontaires. » Insistant sur l’indispensable complémentarité entre professionnels et volontaires, il a donc indiqué que les « gardes postées effectuées par des professionnels » deviennent nécessaires sur les zones les plus accidentogènes du territoire.
Le colonel Gouezec est persuadé de pouvoir relever tous ces défis car il estime avoir découvert en Seine-Maritime des agents du SDIS « engagés et un esprit de corps très développé. »
En Seine-maritime, toujours!
Quand une éolienne prend feu les pompiers n'interviennent pas ne sachant comment ils pourraient intervenir! Ils laissent brûler l'éolienne "sous contrôle"... Kafka aurait adoré!
https://www.ouest-france.fr/faits-divers/incendie/eolienne-en-feu-en-seine-maritime-ce-que-l-on-sait-sur-l-incendie-et-l-intervention-des-pompiers-2a18e7a8-90f8-11ed-87d5-0216ba0cd697?fbclid=IwAR2FBLDa0wLyxYoFpJUr7x7Ge-w1Fg-C5EIDgtMpuEZ4Edk6e_gjHgvhMH8
Éolienne en feu en Seine-Maritime : ce que l’on sait sur l’incendie et l’intervention des pompiers
Lundi 9 janvier 2023, une éolienne a pris feu sur le parc terrestre situé à Petit-Caux, en Seine-Maritime, à cause de l’échauffement électrique de câbles dans le mât. Ce qui pose la question des moyens d’intervention pour ce type d’événement.
Lire aussi:

La candidature de Rouen au titre de capitale européenne de la culture en 2028 a un nouveau parrain en la personne de l'astronaute dieppois Thomas Pesquet: de là à décrocher la lune...
https://www.ouest-france.fr/sciences/espace/thomas-pesquet/thomas-pesquet-parraine-rouen-candidate-au-titre-de-capitale-europeenne-de-la-culture-2028-b2c1e3c0-90df-11ed-a791-5c454a730193
Une journaliste du Monde découvre le littoral normand "hors saison"... Zut alors! C'était le seul moment de l'année où les Parisiens peuvent nous laisser un peu tranquilles!
https://pronormandietourisme.fr/2023/01/05/reportage-hivernal-sur-les-plages-normandes/?utm_source=newsletter-ctn&utm_medium=email&utm_campaign=20230110-CTN

En a-t-on parlé dans "Le Monde"?
https://www.tendanceouest.com/actualite-405455-evreux-bus-scolaires-incendies-au-moins-1-5-million-d-euros-de-prejudice?utm_medium=email&utm_source=newsletter&utm_campaign=NL_2023-01-09&utm_content=bloc1
Évreux. Bus scolaires incendiés : "Au moins 1,5 million d'euros" de préjudice
Incendie. Huit bus scolaires ont été détruits par un incendie à Évreux, dans la nuit de dimanche 8 à lundi 9 janvier. Une enquête est ouverte pour déterminer, notamment, si ce nouveau sinistre a un lien avec les incendies volontaires qui ont ravagé des concessions automobiles début janvier.
Huit bus servant au transport scolaire ont été détruits par les flammes à Évreux, dans la nuit de dimanche 8 à lundi 9 janvier, au dépôt de la société de transport Keolis. Un neuvième a été partiellement endommagé dans cet incendie, qui a mobilisé une trentaine de sapeurs-pompiers, alertés peu avant minuit.
Le préjudice est estimé à "au moins 1,5 million d'euros", selon Rémi Coutin, procureur de la République d'Évreux. Trente-quatre autres bus stationnés au dépôt ont été préservés.
Une centaine de voitures déjà incendiées
Ce sinistre intervient une semaine après une série d'incendies volontaires qui avaient ravagé des concessions automobiles de la ville. "On fait un rapprochement intellectuel entre les faits de cette nuit et ceux de la semaine dernière dans plusieurs concessions automobiles, avant le cas échéant de pouvoir faire un rapprochement matériel", souligne le représentant du parquet.
Dans cette série d'incendies, survenus la nuit de la Saint-Sylvestre puis celle du 2 janvier, près d'une centaine de véhicules ont été endommagés au total, dans des concessions automobiles autour d'Évreux. Les véhicules incendiés étaient des voitures neuves ou des véhicules déposés par des particuliers pour entretien.
A Rouen, la SNCF supprime les êtres humains, dès fois qu'ils aient de mauvaises pensées ou qu'ils aient l'envie de se mettre en grève...
https://actu.fr/normandie/rouen_76540/rouen-suppressions-de-postes-et-de-guichets-le-projet-de-reorganisation-de-la-sncf-passe-mal_56333907.html
Qui se souvient que Georges Simenon s'y attablait régulièrement entre deux Maigret ?
https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-dans-les-pas-de-georges-simenon-2955854
Et la Joséphine toute guillerette qui y gambillait ses petites gambettes ?
Pas le Bruneau tête de veau... tête de wokiste !
https://caen.maville.com/actu/actudet_-quand-josephine-baker-dansait-au-majestic_52656-3194682_actu.Htm