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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
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Sire de Sei, la Normandie en toute liberté!
18 octobre 2022

REVUE DE PRESSE NORMANDE au 18 octobre 2022: Caen, la ville la plus chère de Normandie et le Tesla normand de l'hydrogène...

REVUE DE PRESSE NORMANDE au 18 octobre 2022

Les loyers à Caen ont explosé: la cité de Guillaume le Conquérant est devenue la plus chère de Normandie. Problème: Caen est la capitale de la jeunesse normande. Second problème: près de 7000 jeunes bacheliers normands quittent chaque année notre région pour aller chercher un avenir ailleurs qu'ici. Ce problème de l'immobilier caennais ne fait qu'aggraver le phénomène.

Les "grands élus" normands à Caen, Rouen ou Le Havre font du localisme, n'anticipent pas grand chose, subissent la situation: la jeunesse normande la plus ambitieuse, la plus diplômée et la plus talentueuse vote avec ses pieds! 

Il est temps de réagir pour construire les politiques publiques adaptées pour enrayer et stopper la fuite des jeunes normands: à quand une réunion au sommet entre Messieurs Mayer-Rossignol, Philippe, Bruneau et... Morin sur ce sujet crucial?

Prix des loyers à la location : Caen, ville la plus chère de Normandie | Liberté Caen (actu.fr)

Prix des loyers à la location : Caen, ville la plus chère de Normandie

Selon une étude menée par LocService.fr et dévoilée en cette mi-octobre 2022, Caen serait la ville la plus chère de Normandie pour se loger. 

Le récente Salon de l’immobilier neuf qui s’est tenu à Caen (Calvados), du vendredi 14 au dimanche 16 octobre 2022 au Parc des Expositions, a permis de le confirmer : le marché reste très dynamique, porter par une demande toujours élevée par rapport à l’offre disponible. À cette occasion, LocService.fr, spécialiste de la location entre particuliers, a dévoilé un chiffre pour illustrer l’état du marché locatif caennais.

Pour se loger actuellement à Caen, le loyer moyen s’établit en cette fin d’année 2022 à 497 € par moispour 32 m2 en moyenne.

Hausse significative depuis 2 ans

« Ramené au mètre carré, le loyer moyen connaît une hausse significative depuis deux ans », indiquent les agents de LocService.fr. Il faut actuellement compter 15,5 €/m² à la location, contre 13,5€ sur la même période en 2020. Soit une hausse de 14,8%. « Ce phénomène s’explique par une baisse de la surface des logements loués alors que les prix sont restés quasiment stables. » 

Caen qui compte 68,4% de locataires selon l’INSEE, « se situe en tête des grandes villes normandes les plus chères », selon LocService.fr, quasiment au même niveau que Rouen (15,29 €/m²).

À lire aussi:

Caen, ville la plus recherchée

« C’est également la plus recherchée de la région, avec 16,5 % des recherches contre 12,3 % pour Rouen et 7,8 % pour Le Havre », sur ce site spécialisé. 

Si le prix au mètre carré des loyers dans la cité calvadosienne serait supérieur à la moyenne des villes de province (15,5€/m2 contre 13,61 €), il reste bien sûr moins élevé qu’à Paris. Caen est 58 % moins chère que la capitale !


 Malgré ce lourd handicap, Caen veille à accroître son attractivité dans le domaine de la formation supérieure car il y a un retard normand à rattrapper... Dans le cas présenté ici (les "open campus") l'exemple pris en référence c'est Brest! C'est dire...

Trois écoles supérieures bientôt réunies dans un nouveau campus au nord de Caen | Liberté Caen (actu.fr)

Un Open campus va ouvrir ses portes au nord de Caen (Calvados) en 2023. Il va regrouper trois écoles supérieures spécialisées dans la communication, la mode et l'immobilier. 


 Hier à Rouen avait lieu une nouvelle séance plénière du conseil régional de Normandie: le conseiller régional Laurent Bonaterre est revenu dans son intervention sur l'urgence de la crise démographique normande:

(source: compte FB de Laurent Bonnaterre)

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Politique nationale: plus que jamais, Hervé Morin est 100% NORMAND tant mieux car il est, hélas, bien le seul à l'être vraiment en Normandie (Joël Bruneau? 100% Caennais. Edouard Philippe? 100% en 2027. Nicolas Mayer-Rossignol? 100% dans le monde d'Après...)

Lire, à ce sujet, les remarques toujours pertinentes proposées par Bertrand Tierce dans la dernière livraison de sa chronique de Normandie (n°766):

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 Le projet d'extension du réseau de tramway à Caen est en train de plomber sérieusement les finances de la communauté urbaine: la cour régionale des comptes de Normandie vient d'alerter sur ce sujet qui ne semble pas être au coeur du débat public local en cours...

Le coût du projet explose car les élus de la majorité communautaire conduite par Monsieur Bruneau voulant faire passer leur futur tram devant leur hôtel-de-ville à travers ce qui reste du centre ville historique épargné en 1944, n'ont pas assez anticipé le surcoût nécessaire pour préserver l'esthétique du patrimoine historique, ce qui oblige à équiper de batteries les futures rames pour éviter les poteaux et les câbles électriques devant les architectures anciennes. L'admirable chevet de l'église Saint -Pierre, rescapé des bombes de la Seconde Guerre mondiale est aujourd'hui ceinturé par les câbles du tramway pour ne pas parler des remparts du château ducal en contre haut de la rue de Géôle: la nécessité d'effacer les poteaux et les câbles devant tous les monuments historiques du centre ville de Caen (château, église Saint-Pierre, abbaye-aux-hommes, palais Fontette et rue Guillaume le Conquérant) et d'équiper les rames de batteries en conséquence, fait exploser les coûts du projet!

Bande de GRIBOUILLES!

Futur tramway à Caen : pourquoi son coût gonfle déjà autant | Liberté Caen (actu.fr)

Futur tramway à Caen : pourquoi son coût gonfle déjà autant

D'ici le 30 novembre 2022, l'extension du tramway fait l'objet d'une concertation publique à Caen (Calvados). Le coût du projet est peu évoqué alors que les estimations augmentent.

La question devrait être abordée lors de la concertation publique d’ici le 30 novembre 2022. Trois tracés sont en concurrence pour l’extension du tramway à Caen (Calvados), et doivent être départagés à l’issue de la concertation – le tracé définitif des deux nouvelles lignes reliant la Presqu’île à Beaulieu et Saint-Contest devant être annoncé en février 2023.

Le coût explose ?

L’enjeu éclipse une autre question, celle du coût du projet. Elle figure peu au programme des réunions publiques prévues d’ici là ou dans le fil des contributions remises sur le site dédié.

À lire aussi:

Des doutes émergent sur le financement de cette desserte tant attendue dans les quartiers ouest de Caen. Pour le moment, ils émanent de Citoyens à Caen, un des groupes d’élus d’opposition à la Ville de Caen et à Caen la mer. Tout en rappelant « clairement notre soutien au projet d’extension du tramway », son chef de file, Xavier Le Coutour, et Gérard Fourquet, l’ancien directeur général des services de la communauté urbaine, jusqu’en 2014, l’estiment :

Notre inquiétude est fondée car, depuis 18 mois, nous voyons exploser sans commentaires le coût du projet annoncé par Joël Bruneau [maire de Caen et président de l’agglo].

Ces élus chevronnés, habitués des recours, notamment dans le dossier controversé de la place de la République, pointent l’évolution des estimations du coût de l’extension, hors inflation. En mars 2021, lors d’un point presse, Caen la mer l’avançait, le projet est « évalué entre 150 et 200 M € ». D’après Nicolas Joyau, vice-président de Caen la mer en charge des mobilités, cette première estimation remonte à loin. Avant 2014, quand la majorité de gauche à la mairie de Caen et à la communauté urbaine préparait la création d’une ligne 2 sur un axe est-ouest en tramway fer.

Près de 300 M €

Fin octobre 2021, la présentation du projet aux élus de Caen la mer mentionne une fourchette de 234 à 285 millions d’euros, en fonction des 3 tracés envisagés. Le programme et le budget prévisionnel « de l’opération Tramway 2028 » avaient été adoptés, sur la base du coût du tracé A, « empruntant la rue Guillaume le Conquérant et le boulevard Yves-Guillou pour la desserte des quartiers du Chemin-Vert et de Beaulieu ».

À lire aussi:

Pour Nicolas Joyau, ce tracé A « a toujours été l’hypothèse haute », car il comprend le plus de contraintes, entre la largeur de ligne, le passage sur la place Fontette et « les enjeux patrimoniaux de préservation de sites remarquables », comme l’Hôtel de ville.

En bureau communautaire, en mai dernier, l’estimation monte encore, entre 240 et 291 M €. Dernier palier en date, en septembre. Le dossier de concertation préalable la corrige encore. Elle s’établit cette fois entre 255 et 291 M €, l’écart de prix entre les trois tracés s’étant resserré.

La question devrait être abordée lors de la concertation publique d’ici le 30 novembre 2022. Trois tracés sont en concurrence pour l’extension du tramway à Caen (Calvados), et doivent être départagés à l’issue de la concertation – le tracé définitif des deux nouvelles lignes reliant la Presqu’île à Beaulieu et Saint-Contest devant être annoncé en février 2023.

Le coût explose ?

L’enjeu éclipse une autre question, celle du coût du projet. Elle figure peu au programme des réunions publiques prévues d’ici là ou dans le fil des contributions remises sur le site dédié.

À lire aussi:

Des doutes émergent sur le financement de cette desserte tant attendue dans les quartiers ouest de Caen. Pour le moment, ils émanent de Citoyens à Caen, un des groupes d’élus d’opposition à la Ville de Caen et à Caen la mer. Tout en rappelant « clairement notre soutien au projet d’extension du tramway », son chef de file, Xavier Le Coutour, et Gérard Fourquet, l’ancien directeur général des services de la communauté urbaine, jusqu’en 2014, l’estiment :

Notre inquiétude est fondée car, depuis 18 mois, nous voyons exploser sans commentaires le coût du projet annoncé par Joël Bruneau [maire de Caen et président de l’agglo].

Ces élus chevronnés, habitués des recours, notamment dans le dossier controversé de la place de la République, pointent l’évolution des estimations du coût de l’extension, hors inflation. En mars 2021, lors d’un point presse, Caen la mer l’avançait, le projet est « évalué entre 150 et 200 M € ». D’après Nicolas Joyau, vice-président de Caen la mer en charge des mobilités, cette première estimation remonte à loin. Avant 2014, quand la majorité de gauche à la mairie de Caen et à la communauté urbaine préparait la création d’une ligne 2 sur un axe est-ouest en tramway fer.

Près de 300 M €

Fin octobre 2021, la présentation du projet aux élus de Caen la mer mentionne une fourchette de 234 à 285 millions d’euros, en fonction des 3 tracés envisagés. Le programme et le budget prévisionnel « de l’opération Tramway 2028 » avaient été adoptés, sur la base du coût du tracé A, « empruntant la rue Guillaume le Conquérant et le boulevard Yves-Guillou pour la desserte des quartiers du Chemin-Vert et de Beaulieu ».

À lire aussi:

Pour Nicolas Joyau, ce tracé A « a toujours été l’hypothèse haute », car il comprend le plus de contraintes, entre la largeur de ligne, le passage sur la place Fontette et « les enjeux patrimoniaux de préservation de sites remarquables », comme l’Hôtel de ville.

En bureau communautaire, en mai dernier, l’estimation monte encore, entre 240 et 291 M €. Dernier palier en date, en septembre. Le dossier de concertation préalable la corrige encore. Elle s’établit cette fois entre 255 et 291 M €, l’écart de prix entre les trois tracés s’étant resserré.

Pour Xavier Le Coutour et Gérard Fourquet, « il s’agit donc d’une augmentation de près de 100 M € ». Selon eux, « on reste dans le flou des raisons ». Ils le déplorent : « le dossier de concertation ne consacre qu’une seule page sur 55 à la question du financement. » Et « cette légèreté est inadmissible ». Avant de se demander : « Qu’en est-il du coût effectif ? De nos capacités à l’assumer ? »

Très chères batteries

Des questions auxquelles Nicolas Joyau n’aurait pas répondu clairement. Le vice-président de Caen la mer a pourtant des explications. D’après lui, le surcoût constaté est directement imputable à l’effacement des lignes aériennes de contact. Ce dispositif étendu à plusieurs lignes de tramway est en cours de discussion avec le constructeur Alstom. Il nécessite d’équiper toutes les rames avec des batteries permettant la circulation aux abords de l’église Saint-Pierre et du château d’un côté, et de l’Abbaye-aux-Hommes de l’autre, du boulevard Bertrand aux stations Bayeux et Sorel.

Sans inclure l’inflation des matériaux, Nicolas Joyau prévient : « Tout peut encore bouger sur le coût des travaux. Il y a énormément de paramètres à surveiller. L’inquiétude est permanente. » Mais il l’affirme :

Caen la mer ne mènera le projet global que s’il est finançable.

Pas question, donc, d’un plus grand recours à l’emprunt : « On ne va pas surendetter le budget annexe des transports. »

« Budget soutenable »

Pour le moment, le financement de l’extension du tramway garde sa structure. Caen la mer entend solliciter près de 160 M € d’emprunt, complétés par une subvention maximale de l’État de 40 M €, d’autres subventions pas encore demandées à la Région Normandie ou à l’Europe.

La communauté urbaine compte aussi sur ses fonds propres, alimentés par les recettes perçues auprès des usagers de Twisto et le versement mobilités, une taxe imposée aux entreprises de plus de 11 salariés sur tout le territoire de Caen la mer. « Aujourd’hui, ce versement est très dynamique », observe Nicolas Joyau. « Les hypothèses sont plus réservées pour l’avenir. L’équilibre va se créer tout au long du projet. »

Plusieurs scénarios sont envisagés pour « garantir un budget soutenable ». Dont la réalisation en plusieurs tranches des nouvelles lignes de tramway. L’une pourrait être « ferme », d’ici 2028 ; l’autre, « conditionnelle », et « décalée dans le temps » pour alléger la charge de l’emprunt.


Enfin un Normand à la tête du groupe socialiste au conseil régional...

Normandie. Laurent Beauvais est le nouveau président du groupe PS au conseil régional (ouest-france.fr)


 

 Le TESLA de l'hydrogène sera-t-il normand?

Pour l'instant, l'Hopium Machina qui sera fabriquée à Vernon a surtout servi à transporter un... ancien ministre des transports. N'insultons pas l'avenir!

Hopium Māchina, la première voiture à hydrogène construite en Normandie, star du Mondial de l’auto - Edition du soir Ouest-France - 17/10/2022

Hopium Māchina, la première voiture à hydrogène construite en Normandie, star du Mondial de l’auto

Par Xavier ORIOT

Elle a une autonomie de 1 000 km et une recharge de quelques minutes. Son nom : Hopium Māchina. Cette première voiture « premium » à hydrogène, qui sera construite en 2025 à Vernon (Eure), suscite beaucoup de curiosité au Mondial de l’auto à Paris.

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 24 heures avant l’ouverture au public, la première vedette du Mondial de l’automobile, en tout cas l’objet de toutes les curiosités, c’est elle. L’Hopium Māchina, qui sera construite en Normandie, à Vernon (Eure) à partir de 2025, gris métal, belle gueule et belle ligne à l’entrée du hall 4. « H » comme Hydrogène, « Hope » (espoir) et « Humain ». C’est la première voiture « premium » haut de gamme à hydrogène du monde, présentée en anglais par son concepteur et directeur général d’Hopium, Olivier Lombard, sur un immense stand très épuré de 2 000 m². La voiture sportive et aérodynamique est photographiée et filmée par la presse internationale. Tandis qu’Olivier Lombard et le président d’Hopium, l’ancien ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari, répondent aux interviews.

« On était les pionniers »

« En 2012, je venais de la course automobile thermique. Je ne connaissais absolument rien à l’hydrogène et à l’électrique », reconnaît Olivier Lombard, ancien pilote, vainqueur des 24 Heures du Mans 2011 en LMP2. Ça a été une découverte pour moi tout un vocabulaire que je ne connaissais pas, la compréhension d’une technologie et de sa maturité. Et j’ai participé au développement de la seule voiture de course à hydrogène au monde. On était les pionniers. L’objectif est de courir Le Mans en 2024, nous l’avons toujours. »

Dix ans après, il est à la tête d’Hopium qui va industrialiser la première voiture à hydrogène 100 % française à Vernon où seront créés 1 500 emplois. D’ici là, il reste à trouver les fonds, « on a levé 25 millions d’euros en privé et 70 millions d’euros de fonds américains » les certifications et homologations.

D’ici 2030, il n’y aura plus de voitures thermiques mises sur le marché. Olivier Lombard croît plus à l’hydrogène qu’à l’électrique « pour sa plus grande autonomie de 1 000 km, un Paris-Marseille, une recharge en trois minutes sans l’encombrement des batteries »dit-il. « On voit les limites de l’électrique sur laquelle les Asiatiques ont un temps d’avance sur nous avec de beaux produits. Avec l’hydrogène, on est seuls. L’hydrogène, c’est plus léger, moins dense. On a la durabilité, la performance. La Māchina peut atteindre 230 km/h avec 500 CV avec une accélération plus importante. »

Le modèle présenté au Mondial est à 95 % celui qui sera commercialisé. Toutes les pièces viennent de France et d’Europe ; « il y a moins de matières premières que dans une voiture thermique et même s’il peut y avoir un composant chinois, on est moins dépendants de la Chine », assure Jean-Baptiste Djebbari.

« Un pari à trois, cinq, dix ans »

Jean-Baptiste Djebbari « y croit dur comme fer » lui aussi. « L’hydrogène a un intérêt pour décarboner l’industrie, les mobilités, demain les avions, dit-il. Et la France est bien positionnée sur le sujet pour produire, transporter et distribuer. On a pris du retard sur les Chinois et Américains sur la batterie électrique, et on a la place, on a de l’avance pour des start-up qui préfigurent ce que sera la mobilité de demain. On a besoin d’acteurs qui font des paris à trois, cinq, dix ans. »

Avec 120 000 €, le prix de la Māchina est élevé, pas à la portée de l’automobiliste moyen. « Notre objectif est de la démocratiser avec plusieurs modèles. » Avant la Mondial de l’auto, mille précommandes en 2021 ont déjà été passées et la liste de candidats « qui viennent du thermique ou pas satisfaits de l’électrique » pourrait s’allonger.

Trois bémols toutefois : une production d’hydrogène encore marginale, la rareté des stations de recharge - « Il n’y en a pas autant que l’on voudrait », admet Olivier Lombard – et la production à partir d’électricité et de gaz qui émettent des gaz à effet de serre. L’hydrogène « vert », sans émission de CO₂, ne représente encore que 8 % de la production.


 

Commentaire de Florestan:

D'où l'idée pas bête de relancer la filière nucléaire notamment en Normandie pour produire cet hydrogène "vert"...

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Commentaires
G
quand les Yvelines ne veulent pas des aménagements de la liaison Rouen Evreux et où il est question de difficultés à venir pour la ligne Paris Rouen LNPN...<br /> <br /> <br /> <br /> "« La Normandie n'a rien appris depuis l'invasion des Vikings. Je trouve complètement aberrant qu'un barreau routier, qui n'intéresse que les Normands, et qui peut très bien être fait en Normandie soit imposé dans les Yvelines où cela nous apporte que des nuisances. C'est tout de même une drôle de conception du voisinage. Ce sont des méthodes scandaleuses. Nous n'avons pas été associés à la concertation, ce qui démontre tout le mépris que les élus normands tiennent à l'égard des Yvelines [...] »" Pierre Bédier élu LR des Yvelines<br /> <br /> <br /> <br /> "« Ce dossier préfigure, sur le plan de la concertation, les difficultés que nous aurons à gérer avec la Région de Normandie dans le cadre d’un autre projet, la ligne nouvelle Paris-Normandie. »<br /> <br /> <br /> <br /> Patrick Stefanini elu départemental <br /> <br /> <br /> <br /> https://actu.fr/politique/pour-un-echangeur-d-autoroute-le-torchon-brule-entre-la-normandie-et-les-yvelines_54681020.html
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G
liens hydrogène<br /> <br /> <br /> <br /> https://expertises.ademe.fr/energies/energies-renouvelables-enr-production-reseaux-stockage/passer-a-laction/vecteur-hydrogene<br /> <br /> https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/enjeux-et-prospective/decryptages/energies-renouvelables/tout-savoir-lhydrogene<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> https://librairie.ademe.fr/mobilite-et-transport/1685-rendement-de-la-chaine-hydrogene.html
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G
« Commentaire de Florestan:<br /> <br /> D'où l'idée pas bête de relancer la filière nucléaire notamment en Normandie pour produire cet hydrogène "vert"... »<br /> <br /> Voilà plusieurs fois que vous évoquez cette « idée » d'abord à demi mot et cette fois clairement, c'est tout le contraire d'une bonne idée. je vous fournirais une démonstration si vous le souhaitez
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G
revue Média ce mercredi 19 Octobre, France 3 consacre son magazine des racines et des ailes à la Normandie<br /> <br /> <br /> <br /> "Rencontre avec des Normands soucieux de leur patrimoine. Jérôme Beaunay, architecte des bâtiments de France, est le conservateur de la cathédrale de Bayeux. Un édifice miraculeusement épargné par les combats de la Seconde Guerre mondiale, qui raconte les liens étroits entre la Normandie et l'Angleterre. Quentin Wautier est chargé de concevoir une œuvre unique : une cloche destinée à une église suisse. Un travail minutieux et une nouvelle création pour la fonderie que dirige Paul Bergamo, œuvrant pour les plus grands édifices religieux du monde entier. Dans l'archipel de Chausey, des plongeurs bénévoles vérifient chaque année l'état de ses trésors sous-marins. Jean-Sébastien Vallée est sans doute le meilleur sellier de France. Il conçoit des selles sur mesure pour des cavaliers professionnels grâce à des cuirs d'exception."<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.france.tv/france-3/des-racines-et-des-ailes/4183201-passion-patrimoine-terroirs-d-excellence-en-normandie.html<br /> <br /> <br /> <br /> disponible jusqu'en avril 2023
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G
de l'hydrogène produit par des centrales nucléaires n'est pas de "l'hydrogène vert" selon la classification, c'est de "l'hydrogène jaune" car produit en générant tout de même des déchets nucléaires dont vous ne voudrez pas installer un stockage dans le sous sol de votre maison. <br /> <br /> On peut s'interroger sur la pertinence de transformer de l'électricité non excédentaire en hydrogène, depuis Lavoisier on sait que rien ne se perd et que tout se transforme, mais chaque transformation se fait avec une perte en énergie transformée en chaleur, transformer de l'eau en hydrogène par électrolyse demande énormément d'énergie, et utiliser l'hydrogène dans une pile à hydrogène génère encore des pertes, et pour l'instant, les batteries offrent un meilleur rendement. <br /> <br /> <br /> <br /> La France consomme 900 000 tonnes d'hydrogène par an, plus de 95% sont produits avec des énergies carbonées et en en brulant beaucoup, avant qu'on en produise assez pour en mettre dans les voitures des particuliers, de l'eau aura coulé sous les ponts... Pour info, l'hydrogène est utilisé dans les raffineries pour désulfurer les carburants, dans l'industrie chimique pour fabriquer les engrais azotés et l'amoniac, et là, il n'y a pas de solutions alternatives. <br /> <br /> <br /> <br /> "L'hydrogène vert" produit à partir d'énergies renouvelables, c'est le solaire et l'éolien, l'électrolyse permettant de stocker l'énergie produite et non consommée, si une unité de production d'hydrogène vert est programmée en Normandie près du Havre, c'est pour utiliser l'électricité qui sera produite par les éoliennes en mer construites au Havre et à Cherbourg et implantées au large...<br /> <br /> <br /> <br /> dans l'actualité du jour grève à la SNCF un article de Paris-Normandie <br /> <br /> "Grève : la SNCF annonce un « retour progressif à la normale » des trains mercredi... sauf en Normandie"<br /> <br /> La normale sur le réseau ferroviaire en Normandie étant les retards et les annulations, il n'est pas impossible que tous les trains soient à l'heure ce mercredi... <br /> <br /> <br /> <br /> https://www.paris-normandie.fr/id352482/article/2022-10-18/greve-la-sncf-annonce-un-retour-progressif-la-normale-des-trains-mercredi-sauf<br /> <br /> <br /> <br /> Plus sérieusement, ce retard au retour à la normale est consécutif à la forte participation à la grève en Normandie, et ce n'est pas un hasard, ce lundi à l'ordre du jour du conseil régional, l'ouverture à la concurrence des trains régionaux normands...<br /> <br /> https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/rouen/greve-sncf-les-cheminots-refusent-l-ouverture-a-la-concurrence-des-lignes-ferroviaires-normandes-2636580.html
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