CRISE ENERGETIQUE: Sandrine ROUSSEAU débarque dans le port du Havre pour manifester et pétitionner contre... elle-même!
A la lecture de ce qui suit, ne disons qu'une seule chose:
"Quelle conne!"
(Nous parlons, bien évidemment, de Sandrine Rousseau)
En conséquence, nous voilà dans l'obligation de faire le rappel, très "grand siècle", d'une belle leçon morale dispensée par le grand Bossuet, "l'aigle de Meaux":
"Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes."
La conne en question plus haut a débarqué vendredi dernier dans le port du Havre pour manifester et pétitionner contre l'implantation d'un futur terminal méthanier...
La belle affaire!
Quand ceux qui ont encore un peu d'honnêteté intellectuelle, de lucidité et de mémoire savent, non sans colère, que:
1) EOLIENNES INTERMITTENTES = GAZ RUSSE + GAZ DE SCHISTE AMERICAIN + CHARBON ALLEMAND !
2) ECOLOGISTES ANTI-NUCLEAIRES = ELECTRICITE PLUS CHERE = CRISE ENERGETIQUE !
La belle affaire en effet! Car Madame Rousseau vient finalement pétitionner et manifester dans le port du Havre... contre elle-même!
RAS-LE-BOL DE CES SOI-DISANT "ECOLOGISTES" ! qui sont à l'environnement ce que la radio-activité peut être au nucléaire!
Ces nouveaux Cathares qui ont imposé, depuis près de trente ans, un terrorisme moral et intellectuel insupportable quasi fascisant sur les questions environnementales et énergétiques sont les PREMIERS RESPONSABLES DE L'ACTUELLE CRISE ENERGETIQUE et les parfaits IDIOTS UTILES de tous les géants gaziers qui profitent de l'aubaine financière des énergies dites "renouvelables" pour une historique opération de "grouineouachingue" !
CONSTERNANT!
La députée EELV/NUPES Sandrine Rousseau était au Havre (Seine-Maritime), vendredi 30 septembre 2022 aux côtés du collectif qui lance une pétition contre le terminal méthanier.
10 000 signatures. C’est l’objectif de ce collectif à l’initiative d’une pétition au Havre regroupant Extinction Rebellion, Ecologie Pour Le Havre, des élus d’Un Havre citoyen, des élus et militants EELV, LFI, Attac…C’est seulement en obtenant ce nombre de signatures que la Commission nationale du débat public pourrait décider de la tenue d’un « débat public » avant le démarrage des travaux du terminal méthanier dans la Cité océane prévu cet automne.
Et pour lancer cette pétition, le collectif s’est appuyé du soutien de la députée EELV/NUPES de la 9e circonscription de Paris, Sandrine Rousseau, présente vendredi 30 septembre 2022.
Chronologie
26 mars 2022 : le projet d'un terminal méthanier au Havre pour contrer la dépendance au gaz russe est évoqué pour la première fois. Il y a déjà quatre terminaux d’importation de GNL en France : Dunkerque, Montoir-de-Bretagne et deux à Fos-sur-Mer.
Fin juillet : le préfet annonce le démarrage des travaux à l'automne 2022. C’est le projet de « TotalEnergies, en concertation avec GRTgaz l’opérateur du réseau de transport de gaz en France » qui a été retenu par les pouvoirs publics.
5 août 2022 : 60 parlementaires issus de la Nupes saisissent le Conseil constitutionnel. Ils pointent « le projet de loi favorisant le développement des énergies fossiles ». Un autre recours suit émanant cette fois de 60 sénateurs.
12 août : Saisi par deux recours émanant de parlementaires, le Conseil constitutionnel a émis un avis réservé concernant le terminal méthanier flottant.
À noter que la mise en service du terminal méthanier est prévue en septembre 2023.
« Un scandale face à une crise énergétique »
« Il n’y a pas d’énergie plus sale que le gaz de schiste américain, là-bas pour aller le tirer, on pollue l’eau, on fracture le sol, on créé des tremblements de terre et on met en danger la population. On a interdit ça en France et ça ne nous gêne pas de l’importer d’ailleurs, c’est scandaleux », clame Sandrine Rousseau, ne mâchant pas ses mots.
Commentaire de Florestan:
Mais quelle conne !!!
Pour le collectif qui lance cette pétition, « le gaz importé (principalement des États-Unis) sera largement issu de la fracturation hydraulique (gaz de schiste) impliquant la destruction des sous-sols et des pollutions incontrôlées – ce que la France a refusé d’exploiter sur son propre sol ».
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« Sommet du sommet du scandale, de ce terminal méthanier c’est que dans la loi qui a été votée cet été, il est noté qu’en cas de pénurie, l’État va racheter le gaz importé de ce terminal méthanier et que le prix de rachat couvrira les rémunérations des actionnaires. » Selon la députée, l’État fait le choix « d’aller financer des actionnaires d’entreprises climaticides au détriment des ménages américains simplement parce qu’on n’est pas capable de mettre en place un plan d’isolation des logements et de réduction de nos consommations énergétiques ».
On est avec ce projet simplement dans ce qui nous envoie dans le mur,
Sandrine Rousseau.
(Commentaire de Florestan: dans le mur avec Sandrine Rousseau ? Oui, c'est certain!)
Taclant le gouvernement, Sandrine Rousseau hallucine (sic!!!) même : « La seule chose que l’on dit c’est mettez un col roulé et coupez votre chauffage. L’État a quand même une responsabilité, celle d’isoler les logements, et de faire en sorte qu’on ait moins besoin d’énergie. »
Édouard Philippe taclé
Et le gouvernement n’est pas le seul à qui la députée s’en prend. « Je ne comprends pas que le maire du Havre, Édouard Philippe qui nous a dit qu’il avait lu Effondrement de Jared Diamond, un livre sur comment les civilisations chutent par des problèmes écologiques, a été ému un jour, deux jours et que le troisième jour il l’a oublié. »
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Avec « force et vigueur », la députée soutiendra la pétition et « la lutte sur ce territoire contre ce projet. » Y compris « si la possibilité d’un recours de parlementaires peut également aider à la décision de la CNDP ».
Trop de dérogations et pas assez de garanties
« Dérogations aux codes de l’environnement et aux codes de la sécurité » sont trop importantes selon le collectif local. « Un terminal méthanier à l’intérieur d’un port, ça peut donner des incendies, des explosions comme on a vu au Liban ou à Rouen avec Lubrizol », renchérit Sandrine Rousseau.
Dans la pétition, les défauts de ce projet sont soulignés :
- l’absence de procédure d’appel d’offre ;
- l’absence d’évaluation environnementale en amont des travaux ;
- une déconnexion entre l’urgence avancée comme argument de cette décision et la faible proportion de l’apport attendu à la consommation nationale (10 %) ;
- non prise en compte du temps d’évacuation d’un méthanier (et du terminal lui-même) via l’écluse François 1er.
- (Et, malicieusement, nous ajoutons: dépendance accrue de la France au gaz importé à cause du déploiement des énergies renouvelables intermittentes)
Il n’y a selon le collectif, qui ne peut se résoudre à « une simple procédure administrative accélérée », que via « un véritable débat public que ce projet doit être acté ou pas ».
En application du code de l’environnement et à la condition de 10 000 pétitionnaires (ressortissants majeurs de l’Union européenne résidant en France), la Commission nationale du débat public (CNDP) pourra être saisie.
Le lien vers cette pétition sera relayé via cette page Facebook.