REVUE de presse normande au 26 juillet 2022: "le mauvais temps c'est le temps qui dure trop longtemps."
REVUE DE PRESSE NORMANDE au 26 juillet 2022.
"Le mauvais temps c'est le temps qui dure trop longtemps." (proverbe normand)
Pour la première fois, peut-être depuis 1976, les cinq départements normands sont placés en état d'alerte sécheresse...
Quatre-vingt-dix départements sont placés en état d’alerte sécheresse en France lundi 25 juillet 2022, a-t-on appris auprès du ministère de la Transition écologique. Les cinq départements normands sont concernés.
Les 90 départements, dont les cinq Normands (Seine-Maritime, Eure, Calvados, Orne, Manche), sont concernés par au moins un arrêté préfectoral limitant certains usages de l’eau
Ils sont situés en majorité dans l’est du pays ainsi qu’en Bretagne, dans les Pays-de-la-Loire, dans le nord de la Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie, selon le site de l’information sécheresse du gouvernement, Propluvia.
En prenant pour chaque département le niveau de contrainte le plus élevé, 11 sont placés en état d’alerte, 40 en état d’alerte renforcée et 39 en état de crise. Trois autres départements sont placés en état de vigilance.
Les restrictions d’usage d’eau, quant à elles, varient selon le seuil d’alerte, allant de l’interdiction d’arrosage des jardins à certaines heures, à un arrêt des prélèvements non prioritaires y compris des prélèvements à des fins agricoles.
En état de crise, seuls les prélèvements permettant d’assurer l’exercice des usages prioritaires sont autorisés, liés à la santé, la sécurité civile, l’eau potable et la salubrité.
À ce jour, seuls trois départements de la France métropolitaine (Paris, les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis) ne sont concernés ni par un arrêté préfectoral, ni par un état de vigilance.
Commentaire de Florestan:
On se demande bien pourquoi...
Voir aussi:
33 hectares brûlés dans les landes de la Hague avec un impératif de sécurité nationale majeur qui était de préserver aussi le périmètre des installations... nucléaires. Un pyromane de 26 ans a été interpellé et écroué.
Cérémonie en mémoire du Père Jacques Hamel, mort en martyr de la foi chrétienne en son église de Saint-Etienne-du-Rouvray il y a six ans:
Pour la cérémonie civile devant le monument commémoratif situé à l'extérieur de l'église, la municipalité communiste a fait savoir qu'elle ne souhaitait pas la présence des portes drapeaux nationaux: elle a préféré organiser une sensibilisation à la "Paix" dans les écoles primaires de la commune avec des grues pliées en papier selon la tradition de l'origami japonais puisque la Normandie n'a aucune ressource à fournir sur ce sujet, ainsi que l'inévitable sensibilisation à la laïcité cette pudeur de gazelle indispensable pour continuer à ne pas voir ce qu'il faudrait voir, à savoir que crier "Dieu est grand" avec un couteau pour égorger, comme là-bas, un être humain, qui plus est, un prêtre chrétien catholique dans son église en pleine messe est un... blasphème doublé d'une profanation qui fut salué par quelques concerts de klaxon dans certains quartiers dits "populaires" de l'agglomération rouennaise, le 26 juillet 2016 aux dires d'une ancienne préfète de la région Normandie venue témoigner au procès des coupables.
Refuser la présence des associations portes drapeaux nationaux qui sont ordinairement en charge de représenter la solidarité nationale française aux cérémonies civiles républicaines célébrant la mémoire de ceux qui ont perdu la vie pour l'intérêt supérieur de ce que nous prétendons encore être collectivement est une faute morale.
Message envoyé le 25 juillet 2022 aux adhérents du Comité de Coordination des Associations Mémorielles Rouen Métropole:
Ce message infirme celui-ci:
Crise énergétique, canicule, sécheresse... Nicolas Mayer-Rossignol, le maire et président de la métropole de Rouen fait... CUI-CUI en dépassant la Borne avec une lettre interpellant Madame le Premier ministre sur les retards de la transition énergétique française, lettre co-signée par les élus d'une majorité écolo-socialo dont l'idéologie est la CAUSE PRINCIPALE de la crise énergétique dans laquelle nous sommes hélas plongés!
Par exemple: le délirant système "AREHN" qui vide les poches d'EDF pour financer la vanité inutile de l'éolien et dont les élus en question se plaignent ici des conséquences...
On pensera encore à la célèbre maxime attribuée à Bossuet sur Dieu se moquant des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes.
Si j'étais près d'une corbeille à papier dans les bureaux de l'hôtel de Matignon cette lettre de Jean foutre trouverait facilement son utilité en participant à la nécessaire relance d'une économie circulaire sobre en énergie et en matière première, du côté, de l'usine papetière de la Chapelle Darblay, par exemple...
Commentaire de Florestan:
Conséquence imprévue du traitement par la réalité de l'idéologie écologiste, la possible fermeture des piscines municipales cet hiver en raison d'une facture de gaz qui s'annonce ruineuse! Merci aux éoliennes... et aux écologistes anti-nucléaires qui brassent du vent!
Battue lors des dernières élections législatives, Nathalie Porte bientôt en charge de la vice-présidence du tourisme normand au conseil régional:
Commentaire de Florestan:
C'est beau Lisieux!
(Surtout après 1944...)
Une enquête de l'hebdomadaire localiste caennais "Liberté":
Prendre ses désirs pour des réalités pour désenclaver la ville de Caen, siège de la région de Normandie. Caen-Paris en train en 1h30 ? Pas avant 2035... Non! mais je rêve!
En attendant, et fort heureusement, il y a l'aéroport de Carpiquet, premier aéroport normand par son activité, qui va s'aggrandir avec une seconde aérogare et une future liaison directe avec le périphérique Ouest de la ville. Quant à la question d'allonger la piste... Les écologistes, encore!
Nous avons beaucoup progressé en termes de fiabilité du matériel et au niveau de la ponctualité des trains avec désormais 95 % des trains à l’heure sur le Paris-Caen-Cherbourg, mais pour ce qui est du projet de Ligne Nouvelle Paris Normandie (LNPN) qui doit mettre Caen à 1h35 de Paris, contre 2h aujourd’hui, le dossier avance trop lentement.
Jean-Baptiste Gastinne, vice-président en charge des transports au sein du Conseil régional de Normandie
Caen-Paris en train en 1h35… en 2035 !
Alors que la phase 2 des études préalables à l’enquête publique est en cours, les Normands ne pourront pas compter sur une ligne plus rapide avant… 2035. Au mieux. Une liaison en 1h10 est espérée, quant à elle, pour… 2050 !
Ainsi, pour transporter des voyageurs du Calvados vers les régions du sud de la France, l’aéroport de Caen-Carpiquet semble donc disposer d’un argument de poids pour de longues années encore : le temps. Situé au cœur du Calvados et de l’ex-Basse-Normandie (sic!), l’aéroport de Caen-Carpiquet joue un rôle indispensable pour désenclaver le territoire. « L’aéroport de Carpiquet existe parce qu’il est utile », lance Manuel Le Roux, président de la CCI de Caen, gestionnaire de l’aéroport.
« Complémentaires des autres moyens de transport »
La situation géographique de Caen est mise en avant sur le développement de l’équipement. « Nous sommes excentrés de Paris, à 3h des aéroports, il n’y a pas de lignes de TGV. Il faut changer de gare à Paris et nous avons à l’aéroport de Carpiquet de grandes transversales pour rejoindre les grandes métropoles françaises », détaille Maryline Haize-Hagron, directrice de l’aéroport.
La hausse du prix des carburants et les péages font aussi réfléchir les usagers. « Quand on est deux, traverser la France en voiture, par les autoroutes, cela peut être largement au-dessus des prix de billets d’avion ».
Nous sommes complémentaires des autres moyens de transport. Nous sommes un aéroport de proximité, à la fois touristique et nécessaire au développement économique de Caen et du Calvados. Agrial a par exemple installé son siège à Caen en raison de la présence de l’aéroport. C’est moteur.
Manuel Le Roux
« Indispensable pour le tissu économique local »
À l’aéroport de Caen-Carpiquet, les passagers des vols sont à 70 % du Calvados et à 30 % de la Manche. « C’est une clientèle fidèle et familiale », avec de plus en plus de jeunes et de seniors. « Il y a un vrai ancrage ». L’aéroport est également un atout pour le tourisme en Normandie, avec 35 % de passagers qui viennent des villes du sud de la France.
Si « toutes les destinations au départ de Caen sont en bonne santé, avec des taux de remplissage de 80-90 % », la destination n°1 reste depuis des années Lyon, avec des vols six jours sur sept.
Si les autorités locales tiennent tant à l’aéroport de Caen-Carpiquet, c’est aussi pour cela, parce qu’il est considéré comme un « outil indispensable pour le développement de la ville, et à plus large échelle de la région ». Le maire de Caen et président de Caen la mer Joël Bruneau en est convaincu :
Les liaisons directes, avec Lyon notamment, plusieurs fois par semaine, sont devenues indispensables pour le tissu économique local.
Joël BruneauIl rêve même d’une nouvelle connexion avec un aéroport du nord de la France, voire avec Amsterdam, « un hub européen », plus important que celui de Lyon encore, pour alimenter le développement économique du Calvados et des entreprises qui s’y trouvent.
Taxes foncières: Pas sympa Haropa!
Les éoliennes ventilent plus sûrement les clochermerles qu'elles ne produisent de l'électricité... Tout en participant au massacre du patrimoine normand!
Le château de Merval du XVIIe siècle classé MH et son lycée agricole visuellement menacés par un projet éolien situé à la limite de la commune voisine...
Normandie : une commune vent debout contre un projet éolienEn Seine-Maritime, la commune de Brémontier-Merval est contre un projet d’éolien dont les études de faisabilité ont été lancées par un village voisin
En Normandie, l’énergie éolienne ne fait pas l’unanimité. En 2018, le maire de Brémontier-Merval (Seine-Maritime), Jean-Luc Cosquer, avait été contacté pour savoir s’il souhaitait que sa commune accueille un parc éolien, nous apprend Actu.fr, vendredi 22 juillet. À l’époque, le Conseil municipal avait refusé ce projet. Il y a quelques semaines, le 3 juin, l’édile a de nouveau été contacté… mais cette fois-ci par un habitant, qui lui a fait savoir qu’une commune voisine, Hodeng-Hodenger, avait accepté le lancement d’études de faisabilité pour un parc éolien. « Je n’étais pas au courant. Si un habitant n’était pas venu m’en parler, j’aurais vu une tour s’installer au pied de ma commune du jour au lendemain », a déploré Jean-Luc Cosquer auprès de nos confrères.
Des arbres protégés pourraient être coupés
Ce manque de communication a poussé le maire de Brémontier-Merval à prendre contact avec la société NouvErgies, dédiée aux énergies renouvelables. Concernant le projet reçu par l’édile, trois éoliennes sont prévues, indique le média. Dans un deuxième temps, Jean-Luc Cosquer a contacté Jean-Claude Delwarde, maire d’Hodeng-Hodenger. Aussitôt, il a reçu la confirmation du projet. Par ailleurs, le chef de projet de NouvErgies a assuré que les études devraient être prochainement lancées.
Mais au grand dam de Jean-Luc Cosquer, les éoliennes devraient se trouver en haut de Brémontier-Merval, sur les terres d’un agriculteur. Les constructions sont prévues à la limite de la commune. « On va avoir des éoliennes à quelques centaines de mètres du château de Merval du XIIe siècle et qui est classé, constate l’édile auprès d’Actu.fr. C’est aussi à côté d’arbres protégés [situés sur la route d’Argueil], qu’ils devront sûrement couper pour passer avec les palmes, et de l’autre côté, il y a la forêt de Lyons. » Et de conclure, non sans amertume : « Quand on va aller voir le château, on verra des éoliennes derrière. C’est 103 mètres, une éolienne. Ici, il y a 30 tonnes de ferrailles. Vous appelez ça de l’écologie, vous ? »
La biodiversité en danger
À l’instar de leur maire, la majorité des habitants de Brémontier-Merval sont vent debout contre le projet. Une pétition a été lancée, observe le site d’actualités. Dedans sont listés les différents arguments, parmi lesquels la préservation du paysage, les répercussions sonores et visuelles, la perte de la valeur immobilière et la pollution des sols agricoles. Selon les opposants, la biodiversité – comme les chauves-souris – pourrait en pâtir.
L'abbatiale de Mondaye près de Bayeux se refait une beauté intégrale car ce monument est toujours vivant au coeur de sa communauté religieuse d'origine toujours active: les chanoines de l'ordre de Prémontré.
Commentaire de Florestan: la lecture de cet article est, hélas, gâché par le manque de culture religieuse des journalistes de la rédaction... Une église voûtée n'a pas de "plafond" mais des voûtes et la "perpendiculaire" d'une église se nomme un... "transept"! (Programme d'histoire médiévale en classe de 5ème).
Et pour finir, un salut à Granville, ma station balnéaire normande préférée...
Mais Granville n'est plus aujourd'hui la "Monaco du Nord": la haute mer de l'élégance s'est retirée...
Et pour finir, vraiment... On admirera, ci-après, l'opiniâtreté de notre maréchaussée normande: le Couesnon n'est pas une frontière infranchissable et la Bretagne n'est pas encore une terre indépendante garantissant l'impunité ou l'immunité!
Sud-Manche. Flashé à 195 km/h, le conducteur interpellé chez lui en BretagneGendarmerie, sécurité routière. Dans la nuit du 16 au 17 juillet un automobiliste a été flashé à 195 km/h au lieu de 80. Il a été interpellé chez lui en Ille-et-Vilaine.
Au niveau de la commune de Marcey-les-Grèves, dans la nuit du 16 au 17 juillet, les gendarmes du peloton d'Avranches contrôlent un automobiliste au volant d'une berline de grosse cylindrée à 195 km/h au lieu de 80 sur une route départementale. L'automobiliste refuse alors de s'arrêter. Les gendarmes engagent une brève course-poursuite avec pour mission de relever la plaque d'immatriculation du véhicule. Suite à une enquête ouverte par le parquet de Coutances, vendredi 22 juillet, le conducteur, un homme âgé de 28 ans reçoit à son domicile, en Ille-et-Vilaine, la visite des gendarmes d'Avranches. L'homme a été immédiatement placé en garde à vue, sa voiture saisie et son permis est suspendu pour 6 mois.
Il devra répondre de ses actes devant le tribunal judiciaire de Coutances au mois de mars. Sa voiture restera en fourrière jusque-là indique la gendarmerie de la Manche.
Commentaire de Florestan:
Il est vilain! Il est vilain...
Mais que tous les chauffards de Bretagne ou de Normandie prennent garde, la gendarmerie normande s'est dotée d'Alpine, réunification oblige...