Côte de Nacre: avant de planter des éoliennes en mer, il faut acheter les élus du littoral...
A défaut de vent régulier ou d'être réellement utiles, les futurs éoliennes qui vont gâter notre paysage littoral et bordéliser nos fonds marins, ont déjà un effet certain avant même qu'elles ne soient plantées en mer:
Elles font déjà frétiller dans la nasse de la cupidité et de la corruption quelques gros poissons. Car il est plus efficace d'acheter les consciences que de convaincre les intelligences...
On a retrouvé, dans les archives (2015) de la presse régionale, l'estimation édifiante à lire ci-après...
Le parc éolien au large de Courseulles-sur-Mer qui doit entrer en service en 2018, pourrait rapporter gros aux communes du littoral.
Pour le parc éolien de Courseulles-sur-Mer qui doit entrer en service en 2018, le produit de la taxe annuelle estimé à 6,4 millions d’euros par an, serait redistribué de la manière suivante :
50 %. Pour les communes littorales situées à moins de 22 km du parc et depuis lesquelles au moins une éolienne est visible. Le montant est fonction de leur population et de la distance de l’éolienne la plus proche.
35 %. Pour le Comité National des Pêches Maritimes et des Élevages Marins.
15 %. Pour le financement de projets de développement durable des autres activités maritimes.
3,3 millions d’euros
Selon une simulation de 2012, le montant total de la taxe revenant aux communes serait de 3,3 millions d’euros environ par an. Le montant qui serait versé commune a été calculé par la mairie de Ouistreham. Son maire, Romain Bail, précise: C’est une estimation mais les sommes pourraient être considérables...