Panorama de l'actualité normande au 8 novembre 2021...
L’IMAGE. En hommage à Thomas Pesquet, un Normand photographie l’ISS au-dessus du Mont-Saint-Michel
Dans la matinée de lundi 1er novembre 2021, le Normand Maxime Oudoux a photographié un moment unique où la Station spatiale internationale (ISS) est passée au-dessus de l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Salué par Thomas Pesquet, le photographe professionnel savoure ce moment grâce.
Il est très exactement 6 h 13, lundi 1er novembre, lorsque Maxime Oudoux photographie le passage de l’ISS au-dessus du Mont-Saint-Michel. Après deux tentatives infructueuses réalisées samedi 30 et dimanche et 31 octobre, en raison des conditions météorologiques, le photographe professionnel originaire de Cherbourg sait qu’il ne doit pas se rater : « Grâce à l’application ISS Finder, je savais que la station spatiale internationale passerait d’Ouest en Est à ces dates précises pour pouvoir l’observer », explique-t-il. La tension était donc palpable au moment de shooter la Station spatiale internationale, et la main de Maxime Odoux n’a finalement pas tremblé. « C’est un énorme soulagement que la météo ait finalement été favorable. J’avais ce projet en tête depuis 2014, donc je suis très content ». Et il y a de quoi, puisque sa photo a été nominée par l’un des sites de la Nasa l’Astronomic pictures of the Day.
Un cliché salué par Thomas Pesquet
Pour le passionné de photographie de nuit, la possibilité d’associer Thomas Pesquet, natif de Rouen, au Mont-Saint-Michel était une sorte « d’accomplissement ». Alors quand l’astronaute français a commenté la publication facebook où sa photo figurait, les yeux de Maxime Oudoux se sont écarquillés un peu plus qu’à l’accoutumée : « Je voulais que Thomas puisse voir cette photo et son message m’a fait très plaisir, raconte-t-il. Grâce à lui, plusieurs milliers d’internautes qui le suivent ont commenté et partagé ma publication… C’est la force des réseaux sociaux ».
Sensibiliser à la pollution lumineuse
À ce jour, la photographie de Maxime Ounoux est la première et seule représentation de la Station Spatiale Internationale au-dessus du Mont Saint-Michel, avec son transit quasiment complet et correctement orienté. En espérant que l’esthétisme du cliché permette d’éveiller certaines consciences…
En février 2017, Maxime Oudoux avait déjà fait parlé de lui en shootant l’ISS avec Thomas Pesquet à bord. La Station spatiale internationale était alors parfaitement alignée avec la Lune, Mars, et Vénus. Et cette fois-ci, le cliché avait été immortalisé depuis la Sarthe. « La photo avait fait le tour du monde à l’époque », se remémore le Normand. L’Astronomic pictures of the Day (Nasa) avait alors publié sa photo permettant au Cherbourgeois de se faire repérer sur la toile. « J’avais eu beaucoup de bons retours, mais Thomas Pesquet n’avait pas commenté ma publication Facebook ». Ce n’est que partie remise quatre ans plus tard.
Retour sur Terre, toujours au sujet du Mont-Saint-Michel:
Les chiffres du massacre de la plage de Bernières-sur-Mer des travaux engagés par une nouvelle "organisation Todt"...
(source: Ouest-France)
Parc éolien en mer du Calvados : le chantier en images et en chiffres
Démarré le 8 mars 2021, le raccordement électrique du chantier des éoliennes au large du Calvados est dans les temps. Explications en images et en chiffres.
RTE (Réseau de transport d’électricité) a été chargé par l’État de réaliser le raccordement du parc éolien en mer du Calvados entre Bernières-sur-Mer et Courseulles-sur-Mer. Composé de 64 éoliennes, il produira environ 450 mégawatts, soit l’équivalent de la consommation domestique en électricité de plus de 630 000 personnes (90 % des habitants du Calvados).
39 km. Pour intégrer cette production au réseau de transport d’électricité et la faire transiter vers les zones de consommation, RTE construit une liaison sous-marine à 225 000 volts de 15 km et une liaison souterraine terrestre de 24 km. Soit 39 km au total. La mise en service complète du parc est prévue pour fin 2024.
21 tonnes. C’est le poids d’un touret, ce dévidoir qui contient 1 344 mètres de câble terrestre. « Il faut environ 2 h pour dérouler un touret » détaille Jacques Fremaux, directeur du projet. « Au total, 108 stourets eront déroulés, à raison de trois par semaine, ce qui nous emmène jusque mi 2022. ». Les tranchées avec l’installation des fourreaux devant recevoir ces câbles ont été réalisées depuis le début 2021par le génie civil. « Tous les 1 300 mètres environ, il y a donc une chambre de jonction et on passe 3 câbles par liaison ».
18,5 km. C’est la distance déjà réalisée, à début novembre 2021, sur les 24 kilomètres terrestres nécessaires pour relier le point d’atterrage de Bernières au poste de raccordement au poste électrique à Ranville. « L’atterrage est la zone de jonction entre les liaisons électriques sous-marines entre le parc éolien en mer et la plage de Bernières et celles terrestres, entre Bernières et Ranville ». Les chambres d’atterrage se situeront sous le parking du Platon à Bernières.
550 cibles. C’est le nombre de cibles métalliques trouvées en mer et sur la plage, de juin à octobre 2021. « En préparation de la phase sous-marine, RTE a planifié une campagne d’études complètes : relevés géophysiques et magnétométriques, sondages géotechniques et inspection visuels de potentiels engins explosifs ». Les cibles ne sont pas toutes explosives. « Nous avons trouvé beaucoup de béton ferraillé ». Issu entre autres de ces fameux tétraèdres du D-Day, ces grands prismes triangulaires équipés d’un espace pour attacher une mine. « Des démineurs à pied ont inspecté la plage et trouvé 4 obus. Au large, des plongeurs et des robots ont identifié 40 engins explosifs. C’est la préfecture maritime qui prend alors le relais ».
3 600 tonnes. C’est le poids des câbles sous-marins actuellement en fabrication en Italie. À partir de fin mai 2022, « ils seront ensouillés sur les trois premiers kilomètres en mer, à partir de moyens nautiques spécifiques » (NDLR ensouiller : terme technique : enfouir, enfoncer dans un sol marin).
Mais d’abord, nous avons détruit l’actuelle cale du Platon car les câbles passeront juste à cet endroit. Une nouvelle cale est actuellement en construction afin d’acheminer tous les engins nécessaires au creusement des 700 mètres de tranchées sur l’estran, notamment le passage d’une grue de 100 tonnes.
100 personnes. C’est le nombre d’agents, tous corps de métier confondus, qui travaillent chaque jour à la réalisation de ce chantier hors norme.
Monsieur Gribouille, ministre de la Santé, de passage dans le Vexin normand ce 8 novembre 2021:
Les Gilets Jaunes normands reviennent sur les rond-points:
Exemple près de Dieppe:
L'église catholique normande ébranlée par le scandale de la pédocriminalité: on compte sur les qualités humaines et pastorales de Mgr Charles Lebrun, l'archevêque de Rouen, "primat de Normandie"...
Les palinodies françaises dans le dossier de la pêche post-Brexit...
Licences de pêche. Le gouvernement attend « des réponses » dans les heures qui viennent
Les discussions sur les licences de pêche se poursuivent avec la Grande-Bretagne et la Commission européenne. En déplacement au Havre, ce dimanche 7 novembre 2021, la ministre de la Mer Annick Girardin fait le point.
Pour régler le litige sur les licences de pêche entre la Grande-Bretagne et la France, les réunions se poursuivent « chaque jour sans interruption depuis plus de dix jours, a déclaré la ministre de la Mer, Annick Girardin, en déplacement au Havre, ce dimanche 7 novembre 2021. La Commission européenne et la France sont totalement alignées. Nous attendons des réponses pour lundi, avant de dire si nous sommes satisfaits ou pas. »
Des critères sur la table
Ces réunions « techniques » doivent encore permettre de trancher plusieurs points : « Qu’est-ce qu’un navire de remplacement : quand on a racheté un navire à un propriétaire, est-ce qu’on a le droit d’aller pêcher en eaux britanniques ? Oui, non, dans quelles conditions, comment… ? Nous avons posé un certain nombre de critères sur la table, les Britanniques également. Nous n’avons pas les mêmes critères de lecture de l’accord. Sur Jersey et Guernesey, ce sont des licences pour lesquelles nous discutons encore de la présence des justificatifs. Les dossiers sont complets, la France a fait un travail énorme en neuf mois, il faut qu’on arrive à aboutir dans les quelques heures qui viennent de manière à ce que les pêcheurs puissent enfin continuer leur pêche, qu’on soit dans la Baie de Granville ou dans les 6-12 milles. »
« Faire appliquer l’accord le plus rapidement possible »
Les chances d’aboutir ? Annick Girardin remet les points sur les « i » : « On se trompe d’analyse. Nous ne sommes plus dans une négociation, nous sommes dans l’application d’un accord. Et la Commission a comme rôle de faire appliquer cet accord le plus rapidement possible. »
Patrimoine: solidarité normande affirmée pour Notre-Dame de Paris. Le bois des forêts normandes va fournir la matière à la construction du futur "tabouret" qui va servir d'assiette à la reconstruction à l'identique de la flèche de Viollet Le Duc...
Des créations d'emploi importantes dans la filière logistique normande en lien avec le grand port maritime du Havre:
Le Havre. Seafrigo inaugure une grande plateforme logistique : bientôt des emplois à pourvoir
Sur le port du Havre (Seine-Maritime), l’entreprise dispose de deux nouveaux bâtiments destinés à poursuivre son développement. À la clé : la création d’une centaine d’emplois.
Spécialiste mondial de la logistique alimentaire sous température dirigée, dans le domaine notamment de l’alimentaire, l’hygiène beauté ou encore les vins et spiritueux, Seafrigo a inauguré, ce jeudi 4 novembre 2021, sa nouvelle plateforme logistique d’une surface de 60 000 m². Située sur la zone portuaire du Havre (Seine-Maritime), près du pont rouge, cette plateforme est à proximité immédiate du parc logistique de l’entreprise.
« Les deux nouveaux bâtiments de 30.000 m² chacun, propriété du groupe AG Real Estate et opérés par Seafrigo pour une durée ferme de 12 années, tourneront à plein régime d’ici la fin de l’année et accueilleront les flux logistiques de la grande distribution et des industriels de l’agroalimentaire », indique Eric Barbé, président directeur général du groupe.
« D’autres projets à l’étude »
« Ce nouvel ensemble a été pensé comme un véritable pôle multimodal qui permettra à l’entreprise de renforcer sa stratégie RSE : les bâtiments seront prochainement connectés au rail et un bord à quai sera créé pour dynamiser le trafic fluvial et favoriser le report modal vers les ports parisiens », précise l’entreprise dans un communiqué de presse.
Un projet qui va permettre à Seafrigo de créer une centaine d’emplois dans la région havraise. « Nous sommes fiers de partager ce projet commun avec la direction territoriale du Havre et de proposer à nos clients ce nouveau parc logistique multimodal dernière génération idéalement situé au cœur des zones d’expéditions du port. Seafrigo Group poursuivra sa croissance dans les années à venir et d’autres projets sont à l’étude tant en France qu’à l’international. Notre engagement est la maîtrise de la globalité de la chaîne logistique pour la satisfaction de nos partenaires » , ajoute Eric Barbé.
La "grande débarque" de la coquille Saint-Jacques de Normandie est un succès...
Port-en-Bessin : coquille Saint-Jacques, la montée en puissance de la saison 2021-2022
Depuis le 18 octobre 2021, la saison 2021-2022 de la coquille Saint-Jacques a amorcé sa montée en puissance. La croissance des apports reste progressive.
Depuis le 18 octobre 2021, date de l’ouverture de la pêche dans le proche extérieur de la Baie de Seine, de 12 et 20 milles au large, la saison 2021-2022 de la coquille Saint-Jacques a amorcé sa montée en puissance. La croissance des apports reste progressive, limitée par la météo capricieuse de la première semaine et par le nombre de quotas limité à trois par bateau en deuxième semaine.
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Une pêche régulée
Le quota, quantité autorisée pour une marée, varie entre 1,6 et 2,2 tonnes selon la taille du bateau. Le nombre de marées autorisées par semaine est un autre facteur de régulation de la coquille et de son marché. Limité à 3 par semaine depuis le début de la saison, il pourra atteindre 5 marées par semaine, sans doute, quand la saison battra son plein à l’approche des fêtes.
Côté pêche, « en quantité, c’est encore un peu juste. Il faut une marée de 36 heures pour faire le quota », souligne Jacky Barbé, patron du Newlook avec Emmanuel Gibauts. Une donnée confirmée pour les équipages qui débarquent leur pêche ce mardi 26 octobre. Contrepartie de cette abondance limitée, les cours de vente restent bons pour les professionnels, en devenant attractifs pour les particuliers.
Les stands de vente directe situés dans le marché de l’épi Abbé Leroy proposent la coquille à 5 € le kilo. C’est moins cher qu’en tout début de saison et sans doute le prix de référence d’une saison qui s’amplifie de façon régulière.
Un porte-conteneurs géant chargé de 1600 boîtes vides au terminal de Grand-Couronne près de Rouen
Un navire XXL, le porte-conteneurs MSC Barcelona, est arrivé samedi 6 novembre 2021 au terminal de Grand-Couronne, près de Rouen. Il doit décharger 1 600 « boîtes » vides très attendues par les clients d’Haropa port de Rouen.
Un porte-conteneurs « monstre », le MSC Barcelona, est actuellement à quai sur le terminal de Grand-Couronne, près de Rouen. Long de 270 mètres, large de 40 mètres et d’une capacité d’emport de 74 456 tonnes, le navire est arrivé dans la nuit de vendredi 5 à samedi 6 novembre, directement de Philadelphie, d’où il était parti le 25 octobre 2021. Il s’agit du plus grand porte-conteneurs jamais accueilli à Rouen.
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Le cargo a commencé le déchargement de pas moins de 1 600 conteneurs vides destinés à répondre aux besoins des clients d’Haropa port de Rouen. L’opération de manutention se déroule sous haute protection. C’est du côté de Val-de-la-Haye, Hautot-sur-Seine et Sahurs, de l’autre côté de la Seine, que le spectacle est le plus impressionnant.
Marque de confiance
Climat: après la logorrhée convenue de la COP 26 de Glasgow, il serait temps d'être, enfin, un peu plus concret... Chez nous!
Urgence climatique : à Caen, les cheminots veulent réactiver les voies ferrées fermées
Fermée en 2008, une ancienne voie ferrée du port de commerce de Caen a été mise à jour. Une action en faveur de sa réouverture en ces temps d'urgence climatique.
« Remettre en service cette portion de rail de 7 km peut aller très vite et ça ne coûte qu’environ 1 million d’€. »
Samedi 6 novembre 2021 une quarantaine de cheminots (CGT, Sud) ont débroussaillé 200 m de l’ancienne voie ferrée qui reliait la gare de Caen (Calvados) au port de commerce.
Cette action symbolique dans le cadre de la COP26 avait lieu à Blainville-sur-Orne face à l’entrée de l’usine Renault Trucks. Une entreprise qui pourrait utiliser le fret ferroviaire pour ses approvisionnements, comme la cimenterie de Ranville à quelques encablures ou bien encore les matières premières (bois, céréales) déchargées ou embarquées régulièrement sur les quais de Blainville.
« Le rail est une alternative urgente à développer »
« Le rail est une alternative urgente à développer et non à supprimer », soutient Guillaume Dauxais de Sud Rail.
L’avenir est au développement des transports collectifs pour les passagers mais aussi pour les entreprises. Ici à Blainville, il n’y a pas grand-chose à faire pour utiliser à nouveau cette ligne.
« 200 000 camions transitent à la gare maritime de Ouistreham », calcule Jacques Ambroise, le secrétaire départemental CGT Calvados. « Beaucoup de ces camions font Angleterre-Espagne. Il y a tout ce qu’il fait pour du ferroutage. »
Fermée en 2008, cette voie ferrée devrait être remise en service au plus vite pour les cheminots et les associations environnementales qui militent pour la réouverture d’autres anciennes voies dans l’agglomération de Caen. « Mais aussi des haltes passagers, comme celle de Saint-Manvieu-Norrey, qu’on peut imaginer à Mondeville ou Carpiquet. »
Une étude lancée
En octobre 2021, la communauté urbaine Caen la mer a lancé une étude de faisabilité et de coût pour la voie ferrée de Caen à Blainville.
Une preuve selon les syndicats et associations « que ça évolue, mais trop lentement. Car cela peut aller très vite s’il y a une vraie volonté politique. »
Au large des côtes normandes, l'opération "Overlord" semble se poursuivre...
A Barneville-Carterêt, le maire dénonce l'imposture victimaire des jeunes médecins généralistes qui manipulent l'argument du "désert médical" pour extorquer des avantages indus...
La gastronomie rouennaise honorée d'un label de l'UNESCO: le canard au sang façon Félix Faure y est pour beaucoup... Le rossignol façon Mayer peut-être un peu moins!
Gastronomie. Rouen reçoit un prix de l’Unesco (ouest-france.fr)
Gastronomie. Rouen reçoit un prix de l’Unesco
La capitale normande a été distinguée « ville créative de l’Unesco » par le prestigieux organisme, dans la catégorie « gastronomie ». L’autre ville distinguée en France est Cannes (Alpes-Maritimes).
La capitale de la Normandie vient de recevoir le prix « ville créative » de l’Unesco dans la catégorie « gastronomie ». Une distinction pour laquelle Rouen avait déposé son dossier en juin, a informé la Ville dans un communiqué, lundi 8 novembre 2021. « En collaboration avec les restaurateurs, les établissements de formation, acteurs locaux, privés et publics la Ville de Rouen a fait le choix de faire reconnaître son savoir-faire culinaire. » Rouen et 48 autres villes du monde ont été récompensées « pour leur créativité et leurs progrès dans le développement urbain durable ».
Deux villes distinguées en France
Le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol et Sileymane Sow, adjoint en charge du commerce, de l’économie et de l’attractivité et des relations internationales, se sont réjouis : « Avec cette distinction, la créativité de la ville de Rouen est désormais reconnue au plan international. Ce vote des représentants de l’Unesco est la reconnaissance de la qualité du plan d’actions 2022/2026. »
Avec Rouen, une seule autre ville de France a reçu ce prix, dans le domaine du film : Cannes (Alpes-Maritimes).
Les parapluies de Cherbourg sélectionnés au "prix made in France": le patrimoine vivant normand à nouveau mis à l'honneur...
Charles Yvon, patron des parapluies de Cherbourg, sélectionné au prix Made in France
Le PDG de l’entreprise manchoise Le Parapluie de Cherbourg a été sélectionné au prix de l’entrepreneur Made in France, aux côtés des responsables d’Alélor, Filt 1860 et Pikoc. L’entreprise distinguée sera nommée le 12 novembre 2021 au Salon du Made in France, porte de Versailles.
Charles Yvon, PDG de l’entreprise Le Parapluie de Cherbourg, fait partie des sélectionnés au prix de l’entrepreneur Made in France, distribué à l’occasion du Made in France Expo, qui se déroulera du 11 au 14 novembre 2021, porte de Versailles.
Charles Yvon est à la tête de la manufacture Le Parapluie de Cherbourg depuis 2018
La manufacture normande, implantée à Cherbourg depuis 1986, se situe dans les anciens locaux de la banque de France. Charles Yvon, à la tête de la marque depuis 2018, a pris la suite de son père Jean-Pierre Yvon, créateur de l’entreprise d’abord nommée Le Véritable Cherbourg.
Trois autres responsables d’entreprises françaises sont en lice
Trois autres responsables d’entreprises françaises ont été sélectionnés en septembre 2021, aux côtés du responsable cherbourgeois. Il s’agit des dirigeants d’Alélor, fabricant de moutardes, des filets Filt 1860 et des lessives Pikoc. L’entrepreneur distingué sera nommé le 12 novembre 2021, au Salon du Made in France.